Skip to main content

Hello, my name is Laurent Vo Anh.

I'm the major french independant artist with 10K collectionners and multi million views on TIKTOK.

You can buy full collection of 5K generative NFTs for a very very very good price.

Web : https://enft.fr

Mail : laurentvoanhofficiel@gmail.com

Vidéo : https://tiktok.com/@monopol.group & https://tiktok.com/@laurentvoanh.officiel

Actual collection :

VO ANH KIMONO : https://opensea.io/collection/kimono-voanh-v1

VO ANH ART BANK WOMAN : https://opensea.io/collection/artbank-nft-woman-v1

VO ANH ART BANK : https://opensea.io/collection/artbank-nft-official-v1

STREET ART BUVARD : https://opensea.io/collection/street-art-buvard

Collection 1 with 18 200 NFTs : https://opensea.io/_Monopol_?tab=created

Collection 2 with 7 000 NFTs : https://opensea.io/Satoshi_Nakamoto_gardian?tab=created

Collection 3 with 2 500 NFTs : https://opensea.io/ROLEX-YACHT-CLUB?tab=created

Collection 4 with 3 600 NFTs : https://opensea.io/Laurent_Vo-Anh?tab=created

L'herbe pousse. Poème de SAS Laurent Vo Anh Roi D'ASSANGEGLETERRE (et poète).

Je suis allé sur les sommets roses de la finance, là ou l'or et la lame mêlent leurs élégances,

J'ai vu des monstres chics baragouiner des méthodes horribles, toutes plus mesquines faisaient hurler les coeurs des bibles,

Ces monstres je les maudis, mégalomanes névrosés et cruels, leurs rires sont perfides et s'ils deviennent anges je brûlerai leurs ailes,

C'est moi qui les maudis, c'est moi qui les fais vieillir, regardez le temps comme il s'allonge quand l'amour a son empire !

J'ai vu la presse, j'ai vu la loi, j'ai vu le peuple, j'ai vu la guerre, j'ai vu les femmes subir sous les coups, j'ai vu les larmes de ma mère,

J'ai vu les armes, j'ai vu le sang, j'ai vu la haine, j'ai vu la mort, j'ai l'âme pure comme personne, mais approche mal et je te mors,

J'ai vu la bonté rare, j'ai vu la goutte d'eau qui sauve dans le désert, j'ai vu celles qui vendent leurs sexes et que les altères désaltèrent,

Et au matin je tenais toujours la main d'une prostitué qui prêt du couffin déposait une douce et pure goutte de lait,

J'ai vu les homosexuels avoir le courage d'aimer, J'ai vu 600 000 arabes avoir le courage de prier,

J'ai vu, aussi, la coagulation du sang, j'ai vu la grande usine de bombe américaine, en sommes, en face, tout franc, j'ai vu leur haine !

J'ai vu mes amis d'enfances, identiques en tout, 40 ans plus tard, ils avaient les même rires, ils n'avaient aucun dard.

J'ai vu les juifs et les musulmans, dire Salam et Chalom, leurs ancêtres, leurs descendances et moi, n'avons pas la malédiction de cette génération qui slalome.

Nous sommes droits, nous sommes justes, nous allons net vers la paix, inclinez vous, assassins de tout les bords, oui inclinez vous devant nos épées même rentrées,

Nous sommes la loi des lunes, toutes, nous sommes la loi de chacun de nos soleils, nous sommes la seule route,

J'ai vu tes yeux d'humain lire les veines sous ma chair, Je t'ai vu, héroïque, consoler l'enfant que j'étais, tout en protégeant ma mère,

J'ai vu l'armé des colombes, j'ai vu le ciel ouvrir des tombes, j'ai vu 1 million d'irakiens et 6 million de juifs, leur vengeance est ma bombe !

Méfiez vous, reculez, j'ai tué le diable, je reviens de l'enfer, Et chaque homme mauvais sur cette terre recevra de mon fer,

Et je saurai te reconnaître, perfide, tu es perfide et ton rire te trahira, ainsi que tes yeux plissés et brillants, sur toi, la mort planera.

Eternellement, le mot et dit, et souviens toi, comment sont morts tout ceux qui m'ont maudis.

J'ai vu tes yeux ne plus comprendre, je t'ai vu mon frère tout étourdi, réveille toi, nous ne sommes pas seul, et j'ai vu, dans ton oeil neuf, tu as compris.

J'ai vu cent milliards d'oiseaux vastes et blancs mourir tout d'un coup, Et pendant ce temps sur la plaine j'ai vu les hommes tout motivés à se tordre le cou,

J'ai vu la bêtise humaine et son rire niai qui mène au drame, j'ai bu le sang, mes dents de lames, font peur aux dames,

J'ai vu la chienne et mon ciseau, qui coupe son collier et se plante dans vos os.

J'ai vu la femme humiliée, et son cinglé ridicule gesticuler, ils meurent tout deux dans l'ennui, ils meurent, ils meurent sans être nés.

J'ai vu le vent des ailes des oiseaux disparus faire naître un bon baisé, j'ai vu mon peuple dans le maquis, attendre que je donne l'ordre de tirer et bien viser.

J'ai vu la longueur des choses et je sais ou je vais, Car je t'ai vu un jour me lire, et là, un peu m'aimer.

Vous n'êtes rien ! Poème de Laurent Vo Anh

Salam et shalom, des graines d'ancêtres génies, portés aujourd'hui par une étrange génération, au pollen de feu. Salam et Shalom, aucun autre peuple n'y a pensé, et pourtant aujourd'hui, 11 anges dans le feu.

10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, donnez les moi vite, donnez les moi de suite, j'en ferais des Lapons, loin de vous, 10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, ils n'ont ni mosquée ni synagogue, mon igloo est moins fou, et celui qui le garde est un loup,

Un grand loup blanc, fils du grand loup noir, c'est d.ieu qui l'a posé là, pour qu'il protège mes 11 enfants, Savez vous que vous les avez tué, tandis que naissait le printemps ?

Un petit enfant de Tel Aviv, Dix petits enfants de gaza, Chaque matin leur étincelle était toute vive et chacune de leur seconde nous remplissait de joie,

Et comme vous voulez gagner vos guerres au lieu de faire triompher l'unique paix, Ma glace sera froide comme l'enfer et d.ieu me prêtera son épée,

Au paradis, comment voulez vous que les enfants se reposent, vous avez oublié la paix et coupable votre guerre ose.

Elle glissera sur mes sols gelés, cognera contre ma glace et sera déchiqueté par les crocs de mon loup, Il protège 11 enfants tout mignon, qui sourient dans mon igloo !

Salam et shalom, des graines d'ancêtres génies, mon jardin sera victorieux, 10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, 11 fleurs fleurissent le long des fleuves joyeux.

Le bol d'or. Poème de Laurent Vo Anh Si le jour les jeunes mettent fort la musique, c'est pour ne plus entendre les cris des vieux crétins sadiques, ces vieux mollusques inutiles, avec leur lourdes morales de collabos, qui invités au dîner de la raison et des saines passions, tournent le dos. Ces vieux cons, ces bites molles, ces gens abjectes, tantôt Pétain, tantôt le roi, toujours soumis comme des insectes, ils tyrannisent leurs enfants, ils les dressent d'un mauvais grain, et ce n'est que la bouche boudeuse, qu'ils partagent le pain. Ces mères acariâtres, autoritaires et froides, qui vivent la vie comme une noyade, jamais ne sortent la tête de l'eau, et sont la lame de l’abattoir, qui tue son veau. Ces pères colériques et peu patients, qui plongent dans le péril et l'orage les belles fleurs du temps, qui secouent trop fort l'arbre comme des singes, et pour qui le drapeau blanc n'est qu'un vulgaire linge. Je vous maudis, depuis la réalité du royaume des chatons, et si le vent frais vous ejecte, c'est parce que le souffle de mes poumons, a poussé l'air qui me libère, fermant mon poing vers vos frontons, J'éloignerai la vie de vous, de vos vielles maladies, vos tombes vous attendent, hospice de toutes vos félonies, car je ne connais en ce monde, aucune graine tuant sa fleur, car toutes ont la corolle ronde et vite vous font battre le cœur.

Les Franco-arabes. Poème de Laurent Vo Anh Ils ont construit la France, chaque mur, chaque route, Et pour toute récompense on leur offre la déroute, Et toutes les ondes de la télé crachent comme s'ils étaient mal née, Aux hommes constructeurs tu donnes le mauvais lait, L'arabe est un grand sage, ses dunes traversent les âges, Et quand ils vous regardent leurs milles oiseaux voyagent, A coup de grandes ailes, belles déployées et larges, Car quand ils disent bonjours la paix est à l'hommage. Ils sont ce que la France a de chouette et de nouveaux, Leurs bons bambins ont le rythme joyeux de nos poulbots, Ils sont nos rires, nos chairs, nos âmes et nos grands yeux, Ils sont le peuple libre que porte la terre bleue.

Chanson sous les bombes. Poème de Laurent Vo Anh (A la mémoire de mon grand père) J'a vu la rue furieuse soulevée par la révolte des justes, j'ai vu les 100 000 mains vierges sauver la reine des colombes et élever haut son buste, J'ai vu l'adolescente soldate courir pour fuir les brûlures du napalm, et le ciel explosant de rouge faisant renaître du soleil des rayons calmes, J'ai vu les femmes fragiles pleurer dans les grands labyrinthes gris, comme une souris de laboratoire devant la cruauté et toute abasourdie, J'ai vu les chaines lier des innocents et torturer des saintes, J'ai vu l'enfant génie qui chantant n'avait qu'une complainte, j'ai vu la petite fille blonde et ses yeux qui pétillent, comme le sucre d'une groseille vous ramène à la vie.

Ma mignone. Poeme de Laurent vo anh. (Redirigé dans un bus rapide) Quand naissent mes ruines, au fond de l'hiver de mon grand âge, Quand toute l'ossature couine, barbe longue pour tout pelage, Mes yeux mi-clos soudain se souviennent, du bonnet rouge sur la place, Et que les émotions soutiennent, celle si heureuse qui m'enlace. Il y a la joie dans la sublime étreinte, Il y a la vie toute pleine comme les lèvres aux bulles d'une painte. Il y a ton rire et tes yeux tout émus, Et ma pleine naissance le jour où je t'ai vu.

Les femmes. Poème de Laurent Vo Anh. Elles naissent comme nous, elles naissent du corps d'une femme, et lorsque tu as trop froid, la nature ravive sa flamme, Comme nous elles ont la vie dure, et mille larmes se mêlent à des lacs de sang, et si tu vises le bonheur serre les dents et héroïque mise sur le temps, Dans les guerres elles se font violer et dans la paix ils les malmènent, effrayant de rêver, le diable autour des hommes a bien lié ses chaines, même des gentleman elles n'en veulent plus, si tu me libères voit ma liberté, elles n'ont plus besoin de chiens bossus et leurs crocs sont acérés, elles triompheront sur la vie en humanisant l'homme, elles espèrent de la chair une âme optimum, et quand l'homme chantera l'opium, elles le soigneront du bon sérum, car si la neige d'hiver est bonne, c'est parce que chacun de ses flocons à la puissance des muséums. Et les femmes passent et les femmes meurent, j'ai fait de leur empire d'audace, ma plus illustre demeure.

Une bulle au nez. Poème de Laurent Vo Anh Je fuirais l'univers destructeur des mères folles, tantôt dépressives, tantôt furieuses, la souffrance pour toute idole, J'irais vers une femme belle et neuve, et chaque rayon du jour, et chaque clarté de lune seront une preuve, Je fuirais les mauvaises concubines, abreuvé de cyprine je boirais la joie qui s'agglutine, autour des fleurs et des milles capucines, j'aurais une bulle au nez et ma langue léchera ses babines. Le doigt dans une confiture chaude de groseille, je fuirais les femmes qui échangent un faux amour contre de l'oseille, et si le diable me réveille, c'est lui que je plongerai dans l'ultime sommeil. J'aurais la gourmandise d'une chienne allaitant sa porté de chiots, et si d'ieu me réveille je porterai sa couronne bien plus haut, au zénith du cosmos dilué, comme la neige de l'hiver fond dans ma bouche pleine d'été. Je ferais de la musique et je me sentirais libre, j'offrirais au mendiant le fil et son équilibre, et si le vent nous pousse dans l’abîme, mes grandes ailes mystérieuses nous replaceront dans les cimes, celle du chêne, du peuplier, de l’acacia (bien sur) et de l'érable, mon peuple n'est composé que des mains saintes des misérables, qui tendent leur regard vers l'unique ciel, et son parfum de fleur qui réside dans les nectars du miel. Et si depuis vos villes détruites en plastique vous entendez l'alerte, c'est que jamais mon armé de chatons ne déserte, nous avançons comme la mer riche et féconde, et tôt ou tard nous sauverons le monde.

Plan Z.

Dans une autre vie, j'aurai une maison, Il est beau le chant de l'oiseau dans son nid, tout chaud, tout rond, Du thé, de la belle musique, un peu de nougat, et si la faim me prend vers mon jardin j’étendrai le bras, Bien sur qu'il y aura une femme, toute belle, toute grande, pour elle les rires de mes yeux, tout mon cœur et d'autres offrandes, On se sourira, on se léchera comme de tendres petits chats, Merveilleuse et souple gymnaste entre ses jambes elle m'attrapera, Et puis son petit bidon sera tout rond, et mon oreille sur ce ventre, sentira un petit cœur battre tout mignon, toute ma vie trouvant son épicentre, Et puis un bébé et un autre par là, Tiens, la troisième est une fille toute mignonne et au delà, Un chiot bien sur, un couple de chiots, des chatons, des petits oiseaux libres jusqu'à Tokyo, Des grands voyages, dans la panique des bagages, et sur le quai, tout heureux d'avoir tout perdu, aucun objet fera barrage, Mais j'ai tout raté, j'ai si peu eu que je n'ai rien perdu, Je n'ai même pas pleuré ma vie gâchée et mon destin bien trop ardu, Aucun rire et que des bouches boudeuses, Presque une guerre brûlant la chair avec de lourdes mitrailleuses, Pas un meuble, ou même une fenêtre, Il faut pour voir le ciel voir l'ouverture de l’œil naître, Mon oeil pleure ou pire il est vidé, C'est vers la nuit si sombre qu'il a coulé toute sa beauté. Rater sa vie toute entière, vivre dans l'immense bilan froid, c'est voir que de toutes les manières, le cœur était si maladroit, Pourtant, j'ai un cœur, je vous le jure, là, le voilà, Son petit battement faible a fait de moi un triste roi. Mais j'ai un cœur, c'est promis, j'ai un cœur, J'aurais tant voulu que tu l'entendes et qu'il devienne ta liqueur.

Correspondance à la memoire d'un ami. Cher Grand Rabbin Olka. Je vous remercie infiniment d'avoir "officié" et accompagné l'élévation de l'âme de Yenkele Gomplevicz (de mémoire béni) et qui depuis l'infinité et l’éternité d'H'ashem est au Gan Eden à présent, avec les siens. Je me souviens de ce jour au cimetière, ou les vivants, ceux qui restent, étaient debouts, quelque soit la pluie et le froid, pour rendre hommage à celui qu'ils aiment. Ce jour là, vous avez chanté, et pendant que vous chantiez, un oiseau a chanté avec vous, alors je dois vous raconter cette histoire. Yenkele, jeune homme incarcéré à Auschwitz, dans une forme d'enfer sur terre, un jour, va voir le Rabbin du camp car une fête approche et ce Rabbin doit chanter pour cette fête. Celui ci, hélas, est très affaibli, il est allongé, malade et évidement, tout autour, aucune aide puisque le camp est un camps d'extermination ou ceux qui survivent ont la vie dure. Or, depuis les lumières ancestrales du peuple Juif, ce rabbin, même dans la plus profonde des nuits n'est pas seul, Am Israel Hai, Yenkele, devant lui, s’inquiète et la particularité de sa Neshama s'active : "on ne peut pas le laisser comme cela, il faut faire quelque chose !". Alors Yenkele et son ami décident de prendre un chapeau et de demander UNE PETITE MIETTE DE PAIN à tout les gens du camps, miette après miette, ils n'obtiennent pas un chapeau rempli de miette, mais deux chapeaux, Tsedaka, Mitzvot, ces deux chapeaux de pain, à Auschwitz, sont un trésor, car tous sont affamés, mais aussi pour sa farine faite du blé de la nature, mais surtout depuis la solidarité, l'amour, l'entraide, de tout ceux qui, depuis un monde ultimement difficile, n'oublient pas d'être des hommes, des êtres humains dignes, civilisés et fraternels. Voilà Yenkele et son ami qui mouillent alors les miettes avec de l'eau pour en faire une grande boule de mie et les voilà, ces deux jeunes garçons, devant le Rabbin, qui en mangeant ce pain, en reprenant des forces, sait aussi comment ce pain a été façonné et sait la nature sublime des deux jeunes hommes qui sont en face de lui. Le rabbin, avant de mourir, a repris des forces grâce à ce pain, un peu, et le jour de la fête dans ce camps, il a chanté, un chant ininterrompu depuis des centaines de générations, un chant dont le sens est si puissant que même son étude est complexe et faite pour des êtres élaborés, un chant qui est si juste et beau qu'il triomphera toujours car ce chant est comme le temps, il a l'obstination de la vie, de la justice, de l'émotion, de l'intelligence, de l'amour, du tikoun olam, du m'ashiah et de la gueoula, un chant qui va vers le destin délivré de l'humanité, un chant qui à une route, comme la lumière des étoiles avance tout en clarté quelque soit l’abîme. David, prouve qu'il a en plus de sa force la sagesse de Joseph, car sa harpe sonne juste, et le triomphe est immédiat, évident et fulgurant. Merci d'avoir chanté pour l'enterrement de mon ami, merci à vous et à l'oiseau. L'oiseau parce que H'ashem l'a fait en premier et l'a fait magnifique. Vous parce que du mieux possible, vous avez accompagné l'élévation de l'âme de mon ami jusqu'au Gan Eden, sans que jamais le chant ne s'interrompe, afin que toujours l'homme soit à la hauteur du souffle de la vie qu'hachem lui insuffle, un souffle évidement bon et beau. Ce même souffle chanté par le Rabbin de Auschwitz qu'avait nourri Yenkele, car en vrais, parce que les cœurs sont timides j'ouvre à présent mon intention : c'est au nom du Rabbin de Auschwitz que je vous remercie d'avoir chanté pour Yenkelé. Certain qu'à présent, connaissant l'histoire, vous comprendrez. Bien à vous. Que votre descendance soit éternelle, juste et heureuse. Mazel U bracha.

Quel est votre mot préféré ? Aurore.

Le mot que vous détestez ? Abîme.

Votre drogue favorite ? Le THC sous forme de weed très forte.

Quelle drogue détestez vous ? L’héroïne pour ses ravages ainsi que les autres drogues meurtrières.

Le son, le bruit que vous aimez ? L'ouverture des variations Goldberg notamment l'Aria de Bach joué lentement sur un grand Bosendorfer par Glenn Gould.

Le son, le bruit que vous détestez ? Les sons trop forts, les fausses notes et les mauvaises cacophonies. Ainsi que les pleurs de gens en souffrance dans les films d'épouvante.

Votre juron, gros mot ou blasphème favori ? Va te faire enculer fils de pute.

Quel Homme ou femme pourrait illustrer un nouveau billet de banque ? Mozart, Bach, Beethoven, Charlie Parker, Stephan Grapelli, Nina Simone, Michel Pettruciani, Billie Holiday, sun ra, Stanley Kubrick.

Le métier que vous auriez aimé faire ? Pianiste de Jazz, chef d'orchestre, Astronaute, détective privé américain avec une libido en pleine réussite, réalisateur et acteur de films de fiction, saxophoniste de jazz et compositeur. Mais aussi, policier, juge, avocat, médecin, chirurgien, médecin de guerre.

Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ? Tueur à gage, boucher, bourreau, soldat criminel, gardien sur la tourelle d'un camp de concentration génocidaire, juge corrompu, policier ripou, proxénète, esclavagiste, homme de main, tortionnaire.

La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ? Un chaton. Ou un oiseau capable de voler haut.

Si Dieu existe, qu’ai­meriez-vous, après votre mort, l’en­ten­dre vous dire ? Voilà tout les tiens qui avaient disparu, et un jour viendront les autres car c'est le paradis ou tout va bien et ou l'on est ensembles pour l’éternité.

L'algorithme financier mondial, il faut le savoir, est depuis sa nature guerrière une tricherie faisant du tricheur, le temps de la supercherie, le maître du monde. Or, ces derniers temps, la tricherie, durant la présidence de Trump incarnant l'aile rapace des républicains, a doublée, créant un larcin systémique estimé à 2 000 milliards de dollars et générant dans un effet de planche à billet kamikaze les conditions idéales pour générer, bientôt et devant nos yeux, la plus sidérante et spectaculaire crise économique de l'histoire de l'humanité. Explosant ainsi les scores de dettes, de famines et autres carences, de souffrances et, car ce type de drame est profond, frappera d'une violence phénoménale une large partie de l'humanité, qui souvent n'adhère pas à la violence et à l’égoïsme des richesses mal acquises, qui se rebelle devant les injustices d'exploitation et qui, à cause de la dette, va perdre l'intégralité de ses combats. Les riches, eux, habitués à être égoïstes, profiteurs et dominateurs, auront aussi, comme des nazis d'élite, à être abjectes, à pousser plus loin leur voracité et leur haine. Or, les satisfactions malsaines des complexes de supériorité et autres névroses, piquent comme de l'acide sur une langue de serpent, mais n'ont jamais le gout du miel. Les riches sont comme les mouches qu'hypnotisent des réverbères, ils se croient artificiellement dans la lumière sans jamais connaître les réelles clartés divines du soleil.

Les pauvres résistent pour que les riches ne gâchent pas leurs vies, les riches eux, depuis leurs évidentes vie gâchées n'ont en réalité jamais vécus, ou si peu, ou si mal, et je parle des riches dévoyés car je connais une reine pacifiste qui a une couronne sertie d'un diamant plus cher que le soleil lui même. Si je me rend compte déjà, que j'ai perdu tout mes lecteurs, je continue. Nul n'a besoin de témoin pour ériger chacune des pierres de son temple intérieur.

La crise sera un remboursement forcé de la dette à travers une multitude de carences, un manque d'argent, toutes choses seront chers, il faudra se contenter du minimum, ne plus vivre épanoui, mais survivre cloîtré et faible. Les visages auront la grimace de la faim, et ceux qui n'avaient pas le cœur révolutionnaire, auront la bouche boudeuse des trahis et des humiliés, depuis le faux rêve qu'on leur vendait et le vrais cauchemar du sombre jour nouveau et gâché. Le plus beau, c'est qu'ils vous feront croire que la crise est un événement divin, comme ces faux papes qui vendaient des faux dieux et donc des fausses histoires : "ce d.ieu veut que tu tues ton fils", bon, si c'est d.ieu qui le dit, c'est mon sort ! Non, la crise doit être payé intégralement par ceux qui la génèrent et ceux qui s'en servent comme d'un outil pour saccager le peuple, l'affamer, le détruire et le dominer. Ceux qui feront confiance aux faux papes divinisant la crise, diront : "oh, c'est la crise, c'est dur, il faut souffrir et attendre" et ils apprendront à aimer les plus secs des croûtons, et ils seront une population partageant des choux avec les porcs des riches, eux, ces riches ignobles, gavés de chouquettes au foie gras d'oie salé au caviar. Ils gavent l'oiseaux divins jusqu'à la cirrhose pour déguster sa torture et affament leurs peuples pour traiter l'homme plus bas qu'une bête, les esclaves en Amérique étaient plus fouettés que les bœufs, jusqu'à la moelle ! Peut être qu'en voyant l'homme blanc fouetter l'homme noir, les bêtes autours étaient effarées et je sais que Nietzsche effondré de sanglots a sut enlacer un pauvre cheval, seul, souffrant et pourtant animé par le miracle de la vie.

Avant, si les riches étaient empestés par des pauvres, trop de pauvres partout, des pauvres trop bruyants, alors les riches envoyaient les pauvres s’entre-tuer à la guerre, et les pauvres, un tantinet abrutis allaient s'écharper la fleur au fusil dans des guerres ridicules intellectuellement en nous rapprochant du primate et ressemblant depuis des charniers abominables à l'enfer lui même, pire même peut être car les anges aussi sont en sang !

Depuis la bombe nucléaire, le pauvre n'est plus invité à s'autodétruire dans des guerres, sauf les guerres énergétiques, mais il est invité à crever la dalle et chialer durant chaque crise, avant l'homme était transformé en soldat afin qu'il tue et se fasse tuer, aujourd'hui l'homme est transformé en squelette rachitique afin qu'il ne puisse même pas se lever. La guerre et la crise diminuent l'homme, tantôt en le tuant et tantôt en le mettant sous perfusion.

Ainsi, la crise sera un événement pré fabriqué et divinisé qui perturbera les occidentaux pendant que le drame écologique générera le plus impressionnant et dégouttant saccage de l'humanité non occidentale. La logique malsaine étant, puisque les pays exploités vont-être pressés comme des citrons, souffrir et être à l'agonie et à notre merci, ne laissons pas nos peuples occidentaux les aider et eux aussi, pressons les par une dette et de cruelles et sévères restrictions. Ces riches qui pensent mal le monde ont des couronnes faites de haches sanglantes, quand la colombe passe elle chie sur leur crâne et moi, devant l'infinité et l’Éternité, je les maudis en voyant victorieux leurs enfants se détourner d'eux et me rejoindre parmi les vivants et les dignes et qui en sauvant ceux qui souffrent, s'incarnent en de grands êtres héroïques.

Putain on leur a tiré dans la tronche toute la journée, non stop, chtaba chtaba, on s’allongeait, le corps bien posé sur le sol fécond et sa verdure magnifique mouillant de froid nos treillis tout solides, comme aux cours, fusil sur l’épaule, l’œil dans la lunette, la croix sur le petit bonhomme humain au loin, en face, le frère animal, et bam, une balle dans la tête, au mieux, enfin, c’était le but, dans la tête, le petit bout de métal assassin lancé comme un crachat démoniaque, jusqu’à la mère qui perd son fils, la veuve qui n’aura plus sa bite à la maison et les longs baisers d’amour ultime et essentiel, les orphelins, chaque balle lancée crée, là, et au loin, un putain de drame, des larmes absolues, et nous, on était là, allongés, comme pour une sieste noire, et bam, la balle partait et mettait 2 secondes pour atteindre la cible, moins de 2 secondes, souvent, tout le temps en fait, le type dans le viseur ne se baissait pas, juste, son cerveau explosait, ou son bras, ou autre, et nous, on regardait dans la lunette, merde, la jambe, un blessé c’est bâclé, nous, hélas, là, on faisait du cadavre, alors il fallait viser et toucher la tête, c’était pas seulement le job, c’était le but qui nous ferait gagner la guerre. Bon, il faut dire que les types en face étaient des pauvres connards nés et éduqués en face et que nous, non, mais surtout, que ces connards nés par hasard en face étaient gouvernés par des fils de putes qui avaient déclaré la guerre contre nous, qui avaient commencé, nous globalement on cherchait pas la merde, ni nous ni nos putains de fils de putes de gouvernants, politiciens ou autres bâtards se déclarant supérieurs. Évidemment, à un moment donné, à force de tirer et de tirer, on se sentait atrocement mal, en effet des Mémoires de guerre de Laurent Voh An Mémoires de guerre Laurent Voh An 35 types qui foutent des bouts de métal explosant les crânes, ça vexe Dieu ou autre, d’autant plus que pour tout avouer, nous, enfin, nous 7, c’était ça : une balle, un mort, on était des putains de bons viseurs et par conséquent, tueurs. Au début, on était 123, j’aimais bien le chiffre, un, deux, trois, facile à retenir, hélas un putain de missile Wanker 7 nous fit passer de 123 à 47, soit 73 morts, franchement, ça a foutu un putain de froid, genre grosse mauvaise déprime et comme 2 ou 3 types comme moi avons vu, un, que le chef de section, un capitaine à la con, était mort, paix à son âme, et deux, que tous les survivants se chiaient dessus en devenant illico des victimes, ben on a décidé, à 7, de les laisser tomber, et de nous venger. On a commencé par quitter le groupe, là, un caporal je sais pas quoi nous a dit que non, qu’il dirigeait à présent, et nous, on a dit que si, on se cassait, et franchement, c’était chiant, parce qu’on voyait le type faire son rapport : 73 morts et 7 déserteurs et 20 blessés. En entendant déserteurs, on l’a assommé, et on a couru comme des dingos pendant une quinzaine de minutes, jusqu’aux bagnoles, des grosses 4×4, moi, j’avais jamais conduit et j’étais putain de jouasse, chacun sa bagnole, j’allais enfin pouvoir me faire un grand kif dans ce semi-désert, et puis, tandis que je commençais à rouler à fond avec les autres qui étaient tout jouasses et tout libres, comme des putains de kids avec des droits d’adultes dans un monde sous LSD, on a vu, mais de nos propres yeux, au-dessus de nos putains de têtes un autre Wanker 7, et bam, le voilà qui retombe au même endroit que le précédent, évidemment le premier réflexe a été de freiner, et un d’entre nous, qui avait sympathisé avec un de ceux qui étaient restés nous a dit qu’il allait voir, et nous, en le voyant rebrousser chemin à fond, on scrutait le ciel, au cas où l’on voie un autre de ces putains de missiles. Une trentaine de minutes plus tard, on le voyait revenir avec tout ce qu’il restait des survivants, c’est-à-dire un type, un pauvre type tout putain de défoncé, brisé, tranché de partout. On a roulé pendant 2 heures, droit devant, on savait où on allait, et au soir, on a pris une route qui montait, et une fois au sommet on a posé notre blessé contre un arbre, pour qu’il voie la vallée et l’horizon, et puis il est mort. On était plus des déserteurs, on était la compagnie tout entière, de là, on pouvait faire marche arrière, rentrer au pays, et avoir une médaille, rien que pour avoir survécu, mais de la merde, on allait défoncer la gueule des fils de putes qui nous tiraient dessus, en tout cas moi, je savais que je ne partirais pas avant d’avoir créé avec mes propres armes un putain de cadavre, je, devais, dézinguer, flinguer un fils de pute, vous savez comme quand on est pauvre, qu’on a pas de 36 thune et que pourtant on sent qu’on va lâcher le gros billet pour acheter des putains de chaussures à la con super chères et super pas dans le budget, et qu’on est dans le centre commercial et qu’on a l’intuition qui hurle : nonnnnnnn, ne fais pas çaaaaaaa. Et que quand même on cherche le putain de magasin qui vend ces putains de chaussures vernies rose fluo avec des pompons pour crooner, ben là pareil, j’étais borné, têtu, possédé, motivé, les connards de militaires diraient déterminé, furax, mi-cinglé mi-dangereux, et croyez-moi, en face, ils avaient du mouron à se faire, j’allais flinguer et flinguer et flinguer. D’où on était, pendant qu’on enterrait notre pauvre gars, on voyait toute la vallée, et franchement, là, la nuit, ben c’était la merde totale, la merde de chez merde, y avait des bruits de guerre et des lumières d’armes partout, c’est venu comme ça, au fur et à mesure, au bout d’une heure toute la vallée était un putain d’immense champ de bataille, il faudrait être cinglé pour faire une métaphore du genre : comme des lampions qui scintillaient décorant le grand arbre de Noël du meurtre, de la merde oui, pas de métaphore, en bas, tout le monde flinguait tout le monde, franchement, compte tenu du nombre de détonations diverses, c’est presque certain que les types se dézinguaient même entre eux, qu’un soldat troufion tuait par erreur un colonel « cassecouilles » lui-même flinguant des civils, ça n’a pas cessé, rien, toute la nuit, nous évidemment on était pas pressés de descendre, on comprenait rien à cette merde, on aurait même pas su par où descendre et où aller. De nous 7, y en a un pourtant, tout nerveux et motivé, le plus jeune comme par hasard, qui voulait y aller, ce soir-là, on a su que cet abruti devait nous avoir comme protecteurs toute la guerre tant il était con, et lui, ce même soir, je pense, nous a pris pour des lâches. Parfois, mais quand même souvent, y avait des missiles et autres trucs bien chargés qui explosaient, c’était impressionnant, et nous tous, même le jeune assagi, on commentait, pas pour faire la parlotte, mais pour comprendre, pour échanger des informations et des connaissances, un truc lu par-ci par-là, ou un cours militaire appris par cœur. Parmi nous 7 y en avait un, musclé comme tout, il a jamais voulu dire son nom, et celui-là, ça se voyait, était passionné par la guerre avant la guerre, alors lui, il parlait le plus et nous expliquait le truc, pourquoi les missiles tombaient là, à tel moment, pourquoi la vallée était à feu et à sang, pourquoi la rivière était capitale la nuit et inutile le jour, pourquoi, à cause de la double colline en face, il était impossible de passer par la droite et là où il nous a bien bluffés, c’est quand, bien avant l’aube, il nous a dit : « On bouge maintenant, ça va canarder ici. » Ce qu’on a fait et franchement, quand 40 minutes plus tard 37 j’ai vu notre ancienne position sur le sommet se faire canarder d’une bonne trentaine de missiles, je me suis dit que oui son : « On doit partir car chaque camp va pilonner les extrémités des zones de combat » était putain de valable, il nous avait sauvé la vie, ce jour-là, j’admettais qu’un type militariste musclé de province pouvait être utile au beau gosse intello artiste de la capitale que j’étais. Quand on a vu les putains de boules de feu que faisaient les explosions, on l’a regardé avec gentillesse pour le remercier, mais lui il était déjà ailleurs, réfléchissant au terrain, et puis un d’entre nous a dit, parce qu’on était encore vivants : « Les fils de putes, ils ont bombardé la tombe » et ça nous a rendus tristes. Une fois en bas, avec la lumière de matin qui naissait relativement, tout était plus compréhensible, c’est simple, y avait des cadavres partout, au début ça choquait, très vite c’était devenu le décor. Je sais pas pourquoi, y avait des cadavres brûlés et tout jaunes, très très jaunes, franchement, j’avais pas envie de demander à monsieur Muscle quelle putain d’arme faisait ça, certain que ça me porterait malheur, et peut-être pour ne pas avoir trop peur, je me disais inconsciemment que non, je voulais pas mourir en étant atteint par la mort jaune fluo, d’la merde, je voulais un truc classique au pire, genre balle, trou et sang rouge. Les types d’en bas qui avaient survécu avaient, mais tous, des putains de tronches fatiguées, presque tous blessés ou à moitié dingues, et nous on avait honte en les voyant, nous qui avions passé la nuit tranquille sur les sommets, sauf le jeune, lui il nous regardait tout remerciant, oreille basse comme un chien ayant chié sur la table du salon et attendant sa remontrance ou au pire, je sais pas, un coup de journal, ou autre truc à la con. Au fur et à mesure qu’on avançait on prenait des types avec nous, et puis au bout d’un moment, on a croisé un gradé, là, il nous a pris 4 voitures, il est parti avec, on sait pas trop vers où et pourquoi. Nous on filait tout droit, on était nos propres maîtres et quand on nous demandait qui on était on répondait : on est la compagnie 1984 et putain de merde, ça faisait du bien d’être nos propres chefs, alors on faisait tout pour pas être rattachés à une autre compagnie, c’était comme des vacances, du tourisme. À un moment donné, y a une bonne centaine d’avions qui sont apparus, le truc chouette c’est qu’ils venaient de notre camp, mais franchement, quand on a entendu sans les voir le vrombissement des réacteurs, on a flippé grave. Là, le Muscle man a sauté de joie, et il criait : « 200 000, au moins 200 000 » et une fois calmé, il nous expliquait que compte tenu des combats d’hier soir, le camp adverse était solide d’au moins 200 000 soldats, mais que là, les 38 avions, arrivés les premiers, allaient à peu près tous les défoncer. Et ça a duré à peu près 80 minutes, mais on voyait les avions passer, tirer, passer, tirer, c’est dingue, des types en face crevaient par centaines chaque minute et nous cette putain d’atmosphère nous rassurait, on se sentait protégés et en plus, victorieux. Vers le milieu d’après-midi, tandis qu’on avançait, on a croisé le général Hamton, un putain de mythe, fils d’un armateur mort assassiné et de l’ex-ministre des Affaires étrangères, sorte de princesse ex-ballerine d’une famille pleine de châteaux. Seul lui était serein, bosseur, discipliné dans son travail, franchement il gérait. Par respect on a un peu squatté son bataillon pour aider et puis un de ses capitaines nous a envoyés faire les chiottes, tous les 7, là, on s’est cassés, tout droit, vers le reste des connards à flinguer, il nous restait une bagnole, de la bouffe et nos fusils à lunette, de temps en temps, on s’arrêtait pour chier dans les fourrés ou pisser contre un arbre. On arrivait vers la double colline, le camp adverse, on avait bien roulé, et là on a dépassé la montagne et on est arrivés, c’était dingue, y avait un nombre incroyable de morts, on pouvait voir comment ça s’était déroulé, l’armée adverse avait passé la nuit en tentant de prendre la vallée et la rivière, puis bredouille, s’était retranchée, par groupe de 2 000 hommes, de l’autre côté et là, nos avions étaient passés, et avaient flingué les types, 2 000 par 2 000, bababababam, un passage, 20 000 morts, bababababam, un autre passage, 40 000 morts, en ligne droite, babababam, je pense qu’il y avait bien 400 000 cadavres devant nous et j’étais certain que ça puait la mort en bas, eh bien je n’eus pas à descendre, l’odeur monta jusqu’à nous. Comme ça puait grave et que se balader dans un cimetière ouvert nous branchait pas trop on a décidé de ne plus avancer, on a bouffé et on a fait un campement, et puis soudain on a entendu par la radio qui était dans la voiture le capitaine nous gueuler dessus en nous disant que les chiottes étaient bouchées et là, on lui a dit qu’on était presque de l’autre côté, que y avait plein de morts et qu’on avait gagné la bataille et lui, il nous beuglait dessus comme un porc, en nous faisant flipper grave de mille menaces martiales, et puis soudain, aussi incroyable que cela puisse être, on a vu parmi les morts des types se relever, et des groupes se former, merde, l’armée adverse, enfin ses quelques survivants, existait encore. On l’a dit au capitaine Du Con, pour faire les fayots et il nous a gueulé : « mais snipez-les bande de crétins, snipez-les, on arrive », et c’est vrai qu’on avait pas eu le réflexe. Nous étions, nous et les 300 autres inventions guerrières inventées par jour, le fleuron de notre armée, un truc nouveau, des 39 snipers à longue distance, nos putains de fusil tiraient des balles autopropulsées à redirection initiale, un truc de fou, globalement, on visait, il fallait bien viser et on pouvait flinguer des types à 10 km en 2 secondes, fort quoi ! Et c’est ce qu’on a fait, pendant quoi, 4 heures, on a flingué tout ce qui bougeait en face. Au début, je dois l’avouer avec la plus grande des hontes et la plus violente des inhumanités, on ne pensait pas aux vies que l’on tuait, aux pauvres gars, baignant dans les cadavres, sous le choc, qui osaient refaire surface, mais on pensait à cette seule et unique chose, réussir, réussir à tuer, viser la tête, appuyer sur la gâchette et regarder le type tomber et viser à nouveau. C’est juste au bout de 20 minutes, quand on commençait à faire du 100% de balles dans la tête, qu’on maîtrisait totalement notre effroyable discipline, qu’on a commencé à avoir la gerbe et à comprendre l’horreur de ce que l’on faisait. De temps en temps, on fumait une clope ou on bouffait un peu, et puis on retournait s’allonger en choisissant tel ou tel rocher pour nous abriter et on flinguait, c’est simple, toutes les minutes, y avait environ 25 coups de feu, par personne, on était 7, soit 175 coups de feu, et autant de cadavres. Le truc, c’est que le bataillon 1984 était composé de très bons tireurs, uniquement l’élite, donc, on savait très bien tous, qu’en 4 heures on avait buté 42 000 personnes et que ces types flippaient tellement grave du retour des avions, qu’ils ne viendraient jamais nous attaquer. C’est ce jour où j’ai commencé mon premier combat et j’ai tué à moi seul plus de 5 500 personnes. Quand les nôtres sont arrivés, avec le capitaine devant sur une de nos putains de bagnoles réquisitionnées, on a continué à tirer, pour faire les faux-culs et un de nous 7, le très brun et très beau gosse, enfoiré de beau gosse, genre italien, a dit : « Capitaine, nous avons tué environ 70 000 personnes » et là, au lieu de nous engueuler, il a regardé le camp adverse, et il a vu l’atrocité, les 400 000 cadavres, putain ses yeux étaient globuleux et là, il ne cachait rien, pas de stratégie d’officier devant le soldat lambda, mais un putain de regard ahuri, il s’est retourné vers nous, presque fâché, comme si nous avions fait tout ça nous-mêmes et il a hurlé à sa compagnie : « On descend, et on les flingue tous, on massacre tous ces types, y a du boulot, on y va ! » et ses gars ont foncé. Et lui, ce capitaine voleur de voitures et donneur de corvée de chiottes a installé son campement près de nous, puis le général l’a rejoint, et la nuit est tombée, vite, très vite, peut-être aussi parce que j’étais épuisé. Et là, j’ai compris, en voyant toutes les petites lumières dans la nuit, j’ai compris la bataille de la veille. Notre Muscle man du groupe était tout fou-fou d’être à côté du général, et il nous amenait des infos de temps en temps : « Hier on en a tué 20 000 40 avec les avions, puis pendant qu’on avançait dans la vallée ils nous ont attaqués par surprise, ils avaient fait une fausse retraite » et il continuait en expliquant que l’armée adverse avait lancé le combat pour fusionner avec nous et être protégée des avions, qu’on les avait repoussés, et on sait pas pourquoi mais ils avaient décidé de fuir groupés, et là, les avions d’aujourd’hui avaient flingué tout leur front ouest, parce qu’on avait aussi, il paraît, gagné une bataille en mer contre leurs porte-avions. Logiquement il restait en face de nous 1 million d’hommes, qui logiquement se feraient flinguer ce soir ou demain matin par nos avions, en quelques heures, en vrai, en moins de 2 heures. Comme j’avais flingué tout un tas de types toute la journée, je commençais à connaître la tronche de l’ennemi et là, toutes ces tronches, je les imaginais, par millions, à quelques kilomètres, attendre, sans savoir qu’une mort certaine les attendait, par pitié et par gentillesse, j’avais envie de leur crier : « Hey, partez, rendez-vous, abdiquez, mais ne crevez pas par millions », vraiment, j’avais pas envie que ce million de types, des appelés, des pères, des fils, obligés d’entrer dans l’armée, de force, ah les pauvres, meurent, 1 million d’hommes de plus allaient mourir, cette putain de journée de merde quand même. Moi, j’avais mal à l’index, les yeux qui picotaient et un début de migraine, j’attendais qu’on trouve une feinte pour aller dormir après 32 heures d’atrocité dans la face, et là, le capitaine nous a gueulé dessus, pour les chiottes, puis il nous a montré le champ de bataille en bas « et vous les aidez pas ? » On lui expliquait qu’on était que des snipers et que nos fusils à lunette s’utilisaient le jour et qu’en combat rapproché de nuit, ben on était des merdes, et là, drame des drames il nous lança : « Et les nouvelles lunettes, on a reçu y a deux heures les lunettes à vision nocturne », putain, celles qui devaient être inventées selon notre instructeur de tir dans 10 ans !!!!!! Nous ne dormîmes pas ce soir-là non plus, et diable, ces lunettes marchaient, même à 20 km !!! Je dois avouer que le premier de nous 7 qui tira lâcha un abject : « Tête, 14 km. » Et que pire, je cherchais pour ma part, tirant le second, quelqu’un à 21 km pour tester l’arme : « Cœur, 21 km », je réessayais : « Tête, 20 km et 200 mètres, stable » et les autres, calmement mais réellement, s’installèrent, et nous tirâmes, certains, tous, d’être des démons, en enfer, dans la nuit la plus noire et froide de nos vies, damnés et imprésentables à jamais. Et puis elle arriva, elle s’installa à nos côtés ajustant la lunette nocturne sur son fusil, elle était longue et son visage était terrifiant de beauté. Elle nous lança un « messieurs » et se mit à tirer au loin, une fois, elle fit un oui de la tête pour elle-même, elle avait touché la tête d’un type, puis elle respira fort et continua à tirer, elle le fit pendant 8 heures 41 sans aucune interruption, nous, nous pleurions tout en tuant, si elle était là, c’est que notre armée du sud était tombée, notre armée de femmes, et qu’elle nous avait rejoints. Pendant la nuit, deux bataillons de femmes passèrent devant nous, à l’aube on voyait environ 40 000 femmes soldats arrivées sur la plaine de la veille. Beaucoup, mais trop peu ! Les salauds avaient décidé de mettre toutes leurs forces sur notre armée de femmes !!! Ils allaient nous le payer, les fils de putes accouchés par l’anus, ils allaient nous le payer !!!!!!

Étrange poème d'Arthur Khanh.

Ai-je révélé notre secret des premiers degrés, Toutes tes irrégularités, même Anglaises m'amusent, Aucun secret n'existe quand dans l'injustice tu te complais, Je ne trahis pas les choses cachées, tu souilles nos savoir et tu en abuses,

Je te le répète, ta louve TE loge discrète, Ma louve SE loge secrète, Approche un peu que je te guette, Et vite que dans la benne ton cadavre je le jette !

Et la prochaine fois que tu oseras poser sur le tombeau d'Hiram des humains sacrifiés, C'est que tu veux faire d’Abraham un homme à la descendance maudite depuis tes méfaits ! Tu ne tiendras ni dans l'infinité, ni dans l’éternité, Et j'ai depuis mon temple intérieur découvert une ultime sagesse pleine de beauté !

Quand à ceux qui t'aiderons pour protéger le trésor, quand ils ouvrent la boite de joyaux, à présent, ils s’enivrent de morts ! Mes secrets servent le monde, afin que la paix trouve son havre, En souillant nos pouvoirs ton monde n'est qu'un champ de cadavre.

Qui se lève et dit non ? Qu'importe ! Je n'aide pas les assassins, mais j'aide les victimes, qui sont du bon coté de ma porte, Tu es profane à jamais, et j'ai pour le démontrer, dans le ciel de grands anges, ceux la même que sur terre tu as tué !

Les Français de souche, voilà la merde qu’on entend en boucle, merde parce que cette souche est celle d’une atroce culpabilité raciste, colonialiste, esclavagiste, misogyne, homophobe et fondamentalement d’exploitation de l’homme à outrance avec une élite de névrosés exacerbant leurs complexes de supériorité, et de l’autre coté, une immense bande de soumis incultes et rageux, en fait, sa race, je viens de décrire en maître ce qu’est la France !

Parce que, j’ai envie de dire : bande d’abrutis, la souche c’est Victor Hugo qui lutte contre la misère là ou vous la générez et la détestez, la souche c’est Rimbaud, le maître absolu de la poésie Française, qui chie sur l’intégralité de vos maison d’édition et cercles attardés de poètes, tous tout autant minables les uns que les autres, ce même Rimbaud, lassé de cette France idiote et moisie, qui a pris toutes vos colonnes vertébrales risibles et pathétiques pour les briser en deux, et qui va, partout sauf dans cette France engluée dans sa profonde crasse décérébrée et mesquine, oui bande de crétins finis que vous êtes, lui va chez les arabes, les noirs, les musulmans, lui se marie avec une Africaine tandis que vous pourrissez dans une France moisie par la haine, lui cette France, il la modernise, il l’humanise, un homme, une terre, c’est cela la France de Rimbaud, elle ne se crispe sur elle même, Rimbaud lui l’étend et il réussi tout les défis de l’humanisme Républicain Français.

J’ajoute, s’il le faut, vos repère moraux que vous trahissez, le Christ et L’abbé Pierre auraient honte de vos paroles ignobles, pourtant ils sont vos guides culturels et surtout, les lettres d’or de la République : Liberté pour les Blancs de souche ? De la merde, en lettre d’or c’est : Liberté universelle, égalité universelle, Fraternité Universelle, et tout les enfoirés de merde qui ne sont pas d’accord, allez y, prenez les pinceaux immortels, puisez dans le bol d’or l’encre d’or, et écrivez bien en haut des bâtiment : liberté, égalité, fraternité pour les blancs de souche, et moi, je vous tuerai en bas de la première marche de l’échelle avant que vous n’osiez souiller l’intégralité des murs de MA REPUBLIQUE à la souche sublime, oubliée et dévoyée.

Mais je n’ai pas à vous tuer, la belle souche ancienne refuse de vous voir naître et d’être Français.

Quand aux Elections ?

Notre fausse démocratie qui n’est rien d’autre qu’une vraie dictature m’amuse durant les élections présidentielles.

Tout est faux, tout, mais pire, tout est odieux !

L’âme humaine, ces politiciens le prouvent, peut être ignoblement abjecte. L’âme peut puer.

En vrais il n’y a pas d’élection, tout n’est rien d’autre qu’un dressage, une formation vidéo qu’offrent des dominants à leurs sous espèces de sous citoyens autant trahis que soumis.

Vous n’allez pas élire un président, vous allez bouffer nuit et jours de la chienlit mentale médiatico-propagandiste, avec ses hordes de pingres, de bonimenteurs, de populistes, des fous en fait, l’immense gloire du Fascisme Imperial Néo Liberal Américain, est de réussir à vous proposer 20 candidats dont, chef d’œuvre, 20 fous !

En vrais, y’en a pas un seul qui est intelligent dans le lot, en vrais ils ne se font pas aimer pour la fraternité qu’ils vous offrent parce que en vrais ils vous aident à détester. Dans ce monde qu’ils gâchent, il faut que vous adhériez en moisissant de l’intérieur.

Vous n’aimez pas le monde d’usine, de banque et de supermarché qu’ils vous obligent de vivre, mais comme ils gâchent vos vies et que vous êtes boudeurs, et qu’il vous faut depuis votre nature bernée une vengeance, alors ils sont vos guides à haïr.

Un peuple de zombies qui suivent des monstres, le spectacle de ma démocratie souillée et du fascisme américain accouche salement ces maudites élections bidons, bidonnées, bidonnantes, bafouilleuses, lassantes, crasseuses, venimeuses, abêtissantes, punaise, c’est le mot, loin d’être des démonstrations d’intelligence ces élections mettent toutes les haines et toutes les bêtises sur un piédestal, qui n’est rien d’autre que la planche du condamné, car vous avez ouvert l’abîme des chaos écologiques et sociologiques, vous êtes allez trop loin, le vent se lève, il faut tenter de vivre, le roseau va plier, le chêne se déraciner, vive les tempêtes ! Je sens que la nature va punir ceux qui dominent l’homme, je sens que la verve de la nature va soumettre ces mauvais rois, ces mauvais maîtres, ces tyrans, chouette, ils vont tous crever !Alors choisissez votre présidentiable crétin favori, et haïssez les crétins qu’il vous invite a détester.

Ce qui je vois moi, c’est que partout et tout le temps, la condition humaine régresse et ce déluge cataclysmique écologique est la conséquence de notre profonde et dégradante bêtise.

Nous mourrons bêtes, mais si cruels, alors certains sages ont raisons d’aimer l’extinction humaine, trop de laideur, c’est évident, aussi belle soit elle l’humanité génère trop de laideur. La vie elle se porte bien, elle aura tenté de faire vivre l’homme, elle aura échoué. Qu’elle se débarrasse de son fardeau ! Puisque de toute façon, en mourant, l’humanité n’a que les crachats de son venin pour toute réponse ! L’être humain ne veut pas vivre dans l’amour, l’être humain veut souiller. Alors qu’il disparaisse de la beauté de la vie !

TEAM VO ANH : FIRST NFT FRENCH LOVE CHAIN & PROOF OF LOVE collection image

Hello, my name is Laurent Vo Anh. I'm the major french independant artist with 10K collectionners and multi million views on TIKTOK.

Web : https://enft.fr

Mail : laurentvoanhofficiel@gmail.com

Vidéo : https://tiktok.com/@monopol.group & https://tiktok.com/@laurentvoanh.officiel

Collection 1 with 18 200 NFTs : https://opensea.io/_Monopol_?tab=created

Collection 2 with 7 000 NFTs : https://opensea.io/Satoshi_Nakamoto_gardian?tab=created

Collection 3 with 2 500 NFTs : https://opensea.io/ROLEX-YACHT-CLUB?tab=created

Collection 4 with 3 600 NFTs : https://opensea.io/Laurent_Vo-Anh?tab=created

Contract Address0x2953...4963
Token ID
Token StandardERC-1155
ChainPolygon
MetadataCentralized
Creator Earnings
1.5%

Woman profil : comment j'ai créé la collection ?

view_module
100.0K items
visibility
56 views
  • Unit Price
    USD Unit Price
    Quantity
    Expiration
    From
  • Unit Price
    USD Unit Price
    Quantity
    Floor Difference
    Expiration
    From
keyboard_arrow_down
Event
Unit Price
Quantity
From
To
Date

Woman profil : comment j'ai créé la collection ?

view_module
100.0K items
visibility
56 views
  • Unit Price
    USD Unit Price
    Quantity
    Expiration
    From
  • Unit Price
    USD Unit Price
    Quantity
    Floor Difference
    Expiration
    From

Hello, my name is Laurent Vo Anh.

I'm the major french independant artist with 10K collectionners and multi million views on TIKTOK.

You can buy full collection of 5K generative NFTs for a very very very good price.

Web : https://enft.fr

Mail : laurentvoanhofficiel@gmail.com

Vidéo : https://tiktok.com/@monopol.group & https://tiktok.com/@laurentvoanh.officiel

Actual collection :

VO ANH KIMONO : https://opensea.io/collection/kimono-voanh-v1

VO ANH ART BANK WOMAN : https://opensea.io/collection/artbank-nft-woman-v1

VO ANH ART BANK : https://opensea.io/collection/artbank-nft-official-v1

STREET ART BUVARD : https://opensea.io/collection/street-art-buvard

Collection 1 with 18 200 NFTs : https://opensea.io/_Monopol_?tab=created

Collection 2 with 7 000 NFTs : https://opensea.io/Satoshi_Nakamoto_gardian?tab=created

Collection 3 with 2 500 NFTs : https://opensea.io/ROLEX-YACHT-CLUB?tab=created

Collection 4 with 3 600 NFTs : https://opensea.io/Laurent_Vo-Anh?tab=created

L'herbe pousse. Poème de SAS Laurent Vo Anh Roi D'ASSANGEGLETERRE (et poète).

Je suis allé sur les sommets roses de la finance, là ou l'or et la lame mêlent leurs élégances,

J'ai vu des monstres chics baragouiner des méthodes horribles, toutes plus mesquines faisaient hurler les coeurs des bibles,

Ces monstres je les maudis, mégalomanes névrosés et cruels, leurs rires sont perfides et s'ils deviennent anges je brûlerai leurs ailes,

C'est moi qui les maudis, c'est moi qui les fais vieillir, regardez le temps comme il s'allonge quand l'amour a son empire !

J'ai vu la presse, j'ai vu la loi, j'ai vu le peuple, j'ai vu la guerre, j'ai vu les femmes subir sous les coups, j'ai vu les larmes de ma mère,

J'ai vu les armes, j'ai vu le sang, j'ai vu la haine, j'ai vu la mort, j'ai l'âme pure comme personne, mais approche mal et je te mors,

J'ai vu la bonté rare, j'ai vu la goutte d'eau qui sauve dans le désert, j'ai vu celles qui vendent leurs sexes et que les altères désaltèrent,

Et au matin je tenais toujours la main d'une prostitué qui prêt du couffin déposait une douce et pure goutte de lait,

J'ai vu les homosexuels avoir le courage d'aimer, J'ai vu 600 000 arabes avoir le courage de prier,

J'ai vu, aussi, la coagulation du sang, j'ai vu la grande usine de bombe américaine, en sommes, en face, tout franc, j'ai vu leur haine !

J'ai vu mes amis d'enfances, identiques en tout, 40 ans plus tard, ils avaient les même rires, ils n'avaient aucun dard.

J'ai vu les juifs et les musulmans, dire Salam et Chalom, leurs ancêtres, leurs descendances et moi, n'avons pas la malédiction de cette génération qui slalome.

Nous sommes droits, nous sommes justes, nous allons net vers la paix, inclinez vous, assassins de tout les bords, oui inclinez vous devant nos épées même rentrées,

Nous sommes la loi des lunes, toutes, nous sommes la loi de chacun de nos soleils, nous sommes la seule route,

J'ai vu tes yeux d'humain lire les veines sous ma chair, Je t'ai vu, héroïque, consoler l'enfant que j'étais, tout en protégeant ma mère,

J'ai vu l'armé des colombes, j'ai vu le ciel ouvrir des tombes, j'ai vu 1 million d'irakiens et 6 million de juifs, leur vengeance est ma bombe !

Méfiez vous, reculez, j'ai tué le diable, je reviens de l'enfer, Et chaque homme mauvais sur cette terre recevra de mon fer,

Et je saurai te reconnaître, perfide, tu es perfide et ton rire te trahira, ainsi que tes yeux plissés et brillants, sur toi, la mort planera.

Eternellement, le mot et dit, et souviens toi, comment sont morts tout ceux qui m'ont maudis.

J'ai vu tes yeux ne plus comprendre, je t'ai vu mon frère tout étourdi, réveille toi, nous ne sommes pas seul, et j'ai vu, dans ton oeil neuf, tu as compris.

J'ai vu cent milliards d'oiseaux vastes et blancs mourir tout d'un coup, Et pendant ce temps sur la plaine j'ai vu les hommes tout motivés à se tordre le cou,

J'ai vu la bêtise humaine et son rire niai qui mène au drame, j'ai bu le sang, mes dents de lames, font peur aux dames,

J'ai vu la chienne et mon ciseau, qui coupe son collier et se plante dans vos os.

J'ai vu la femme humiliée, et son cinglé ridicule gesticuler, ils meurent tout deux dans l'ennui, ils meurent, ils meurent sans être nés.

J'ai vu le vent des ailes des oiseaux disparus faire naître un bon baisé, j'ai vu mon peuple dans le maquis, attendre que je donne l'ordre de tirer et bien viser.

J'ai vu la longueur des choses et je sais ou je vais, Car je t'ai vu un jour me lire, et là, un peu m'aimer.

Vous n'êtes rien ! Poème de Laurent Vo Anh

Salam et shalom, des graines d'ancêtres génies, portés aujourd'hui par une étrange génération, au pollen de feu. Salam et Shalom, aucun autre peuple n'y a pensé, et pourtant aujourd'hui, 11 anges dans le feu.

10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, donnez les moi vite, donnez les moi de suite, j'en ferais des Lapons, loin de vous, 10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, ils n'ont ni mosquée ni synagogue, mon igloo est moins fou, et celui qui le garde est un loup,

Un grand loup blanc, fils du grand loup noir, c'est d.ieu qui l'a posé là, pour qu'il protège mes 11 enfants, Savez vous que vous les avez tué, tandis que naissait le printemps ?

Un petit enfant de Tel Aviv, Dix petits enfants de gaza, Chaque matin leur étincelle était toute vive et chacune de leur seconde nous remplissait de joie,

Et comme vous voulez gagner vos guerres au lieu de faire triompher l'unique paix, Ma glace sera froide comme l'enfer et d.ieu me prêtera son épée,

Au paradis, comment voulez vous que les enfants se reposent, vous avez oublié la paix et coupable votre guerre ose.

Elle glissera sur mes sols gelés, cognera contre ma glace et sera déchiqueté par les crocs de mon loup, Il protège 11 enfants tout mignon, qui sourient dans mon igloo !

Salam et shalom, des graines d'ancêtres génies, mon jardin sera victorieux, 10 enfants Palestiniens, 1 enfant juif, 11 fleurs fleurissent le long des fleuves joyeux.

Le bol d'or. Poème de Laurent Vo Anh Si le jour les jeunes mettent fort la musique, c'est pour ne plus entendre les cris des vieux crétins sadiques, ces vieux mollusques inutiles, avec leur lourdes morales de collabos, qui invités au dîner de la raison et des saines passions, tournent le dos. Ces vieux cons, ces bites molles, ces gens abjectes, tantôt Pétain, tantôt le roi, toujours soumis comme des insectes, ils tyrannisent leurs enfants, ils les dressent d'un mauvais grain, et ce n'est que la bouche boudeuse, qu'ils partagent le pain. Ces mères acariâtres, autoritaires et froides, qui vivent la vie comme une noyade, jamais ne sortent la tête de l'eau, et sont la lame de l’abattoir, qui tue son veau. Ces pères colériques et peu patients, qui plongent dans le péril et l'orage les belles fleurs du temps, qui secouent trop fort l'arbre comme des singes, et pour qui le drapeau blanc n'est qu'un vulgaire linge. Je vous maudis, depuis la réalité du royaume des chatons, et si le vent frais vous ejecte, c'est parce que le souffle de mes poumons, a poussé l'air qui me libère, fermant mon poing vers vos frontons, J'éloignerai la vie de vous, de vos vielles maladies, vos tombes vous attendent, hospice de toutes vos félonies, car je ne connais en ce monde, aucune graine tuant sa fleur, car toutes ont la corolle ronde et vite vous font battre le cœur.

Les Franco-arabes. Poème de Laurent Vo Anh Ils ont construit la France, chaque mur, chaque route, Et pour toute récompense on leur offre la déroute, Et toutes les ondes de la télé crachent comme s'ils étaient mal née, Aux hommes constructeurs tu donnes le mauvais lait, L'arabe est un grand sage, ses dunes traversent les âges, Et quand ils vous regardent leurs milles oiseaux voyagent, A coup de grandes ailes, belles déployées et larges, Car quand ils disent bonjours la paix est à l'hommage. Ils sont ce que la France a de chouette et de nouveaux, Leurs bons bambins ont le rythme joyeux de nos poulbots, Ils sont nos rires, nos chairs, nos âmes et nos grands yeux, Ils sont le peuple libre que porte la terre bleue.

Chanson sous les bombes. Poème de Laurent Vo Anh (A la mémoire de mon grand père) J'a vu la rue furieuse soulevée par la révolte des justes, j'ai vu les 100 000 mains vierges sauver la reine des colombes et élever haut son buste, J'ai vu l'adolescente soldate courir pour fuir les brûlures du napalm, et le ciel explosant de rouge faisant renaître du soleil des rayons calmes, J'ai vu les femmes fragiles pleurer dans les grands labyrinthes gris, comme une souris de laboratoire devant la cruauté et toute abasourdie, J'ai vu les chaines lier des innocents et torturer des saintes, J'ai vu l'enfant génie qui chantant n'avait qu'une complainte, j'ai vu la petite fille blonde et ses yeux qui pétillent, comme le sucre d'une groseille vous ramène à la vie.

Ma mignone. Poeme de Laurent vo anh. (Redirigé dans un bus rapide) Quand naissent mes ruines, au fond de l'hiver de mon grand âge, Quand toute l'ossature couine, barbe longue pour tout pelage, Mes yeux mi-clos soudain se souviennent, du bonnet rouge sur la place, Et que les émotions soutiennent, celle si heureuse qui m'enlace. Il y a la joie dans la sublime étreinte, Il y a la vie toute pleine comme les lèvres aux bulles d'une painte. Il y a ton rire et tes yeux tout émus, Et ma pleine naissance le jour où je t'ai vu.

Les femmes. Poème de Laurent Vo Anh. Elles naissent comme nous, elles naissent du corps d'une femme, et lorsque tu as trop froid, la nature ravive sa flamme, Comme nous elles ont la vie dure, et mille larmes se mêlent à des lacs de sang, et si tu vises le bonheur serre les dents et héroïque mise sur le temps, Dans les guerres elles se font violer et dans la paix ils les malmènent, effrayant de rêver, le diable autour des hommes a bien lié ses chaines, même des gentleman elles n'en veulent plus, si tu me libères voit ma liberté, elles n'ont plus besoin de chiens bossus et leurs crocs sont acérés, elles triompheront sur la vie en humanisant l'homme, elles espèrent de la chair une âme optimum, et quand l'homme chantera l'opium, elles le soigneront du bon sérum, car si la neige d'hiver est bonne, c'est parce que chacun de ses flocons à la puissance des muséums. Et les femmes passent et les femmes meurent, j'ai fait de leur empire d'audace, ma plus illustre demeure.

Une bulle au nez. Poème de Laurent Vo Anh Je fuirais l'univers destructeur des mères folles, tantôt dépressives, tantôt furieuses, la souffrance pour toute idole, J'irais vers une femme belle et neuve, et chaque rayon du jour, et chaque clarté de lune seront une preuve, Je fuirais les mauvaises concubines, abreuvé de cyprine je boirais la joie qui s'agglutine, autour des fleurs et des milles capucines, j'aurais une bulle au nez et ma langue léchera ses babines. Le doigt dans une confiture chaude de groseille, je fuirais les femmes qui échangent un faux amour contre de l'oseille, et si le diable me réveille, c'est lui que je plongerai dans l'ultime sommeil. J'aurais la gourmandise d'une chienne allaitant sa porté de chiots, et si d'ieu me réveille je porterai sa couronne bien plus haut, au zénith du cosmos dilué, comme la neige de l'hiver fond dans ma bouche pleine d'été. Je ferais de la musique et je me sentirais libre, j'offrirais au mendiant le fil et son équilibre, et si le vent nous pousse dans l’abîme, mes grandes ailes mystérieuses nous replaceront dans les cimes, celle du chêne, du peuplier, de l’acacia (bien sur) et de l'érable, mon peuple n'est composé que des mains saintes des misérables, qui tendent leur regard vers l'unique ciel, et son parfum de fleur qui réside dans les nectars du miel. Et si depuis vos villes détruites en plastique vous entendez l'alerte, c'est que jamais mon armé de chatons ne déserte, nous avançons comme la mer riche et féconde, et tôt ou tard nous sauverons le monde.

Plan Z.

Dans une autre vie, j'aurai une maison, Il est beau le chant de l'oiseau dans son nid, tout chaud, tout rond, Du thé, de la belle musique, un peu de nougat, et si la faim me prend vers mon jardin j’étendrai le bras, Bien sur qu'il y aura une femme, toute belle, toute grande, pour elle les rires de mes yeux, tout mon cœur et d'autres offrandes, On se sourira, on se léchera comme de tendres petits chats, Merveilleuse et souple gymnaste entre ses jambes elle m'attrapera, Et puis son petit bidon sera tout rond, et mon oreille sur ce ventre, sentira un petit cœur battre tout mignon, toute ma vie trouvant son épicentre, Et puis un bébé et un autre par là, Tiens, la troisième est une fille toute mignonne et au delà, Un chiot bien sur, un couple de chiots, des chatons, des petits oiseaux libres jusqu'à Tokyo, Des grands voyages, dans la panique des bagages, et sur le quai, tout heureux d'avoir tout perdu, aucun objet fera barrage, Mais j'ai tout raté, j'ai si peu eu que je n'ai rien perdu, Je n'ai même pas pleuré ma vie gâchée et mon destin bien trop ardu, Aucun rire et que des bouches boudeuses, Presque une guerre brûlant la chair avec de lourdes mitrailleuses, Pas un meuble, ou même une fenêtre, Il faut pour voir le ciel voir l'ouverture de l’œil naître, Mon oeil pleure ou pire il est vidé, C'est vers la nuit si sombre qu'il a coulé toute sa beauté. Rater sa vie toute entière, vivre dans l'immense bilan froid, c'est voir que de toutes les manières, le cœur était si maladroit, Pourtant, j'ai un cœur, je vous le jure, là, le voilà, Son petit battement faible a fait de moi un triste roi. Mais j'ai un cœur, c'est promis, j'ai un cœur, J'aurais tant voulu que tu l'entendes et qu'il devienne ta liqueur.

Correspondance à la memoire d'un ami. Cher Grand Rabbin Olka. Je vous remercie infiniment d'avoir "officié" et accompagné l'élévation de l'âme de Yenkele Gomplevicz (de mémoire béni) et qui depuis l'infinité et l’éternité d'H'ashem est au Gan Eden à présent, avec les siens. Je me souviens de ce jour au cimetière, ou les vivants, ceux qui restent, étaient debouts, quelque soit la pluie et le froid, pour rendre hommage à celui qu'ils aiment. Ce jour là, vous avez chanté, et pendant que vous chantiez, un oiseau a chanté avec vous, alors je dois vous raconter cette histoire. Yenkele, jeune homme incarcéré à Auschwitz, dans une forme d'enfer sur terre, un jour, va voir le Rabbin du camp car une fête approche et ce Rabbin doit chanter pour cette fête. Celui ci, hélas, est très affaibli, il est allongé, malade et évidement, tout autour, aucune aide puisque le camp est un camps d'extermination ou ceux qui survivent ont la vie dure. Or, depuis les lumières ancestrales du peuple Juif, ce rabbin, même dans la plus profonde des nuits n'est pas seul, Am Israel Hai, Yenkele, devant lui, s’inquiète et la particularité de sa Neshama s'active : "on ne peut pas le laisser comme cela, il faut faire quelque chose !". Alors Yenkele et son ami décident de prendre un chapeau et de demander UNE PETITE MIETTE DE PAIN à tout les gens du camps, miette après miette, ils n'obtiennent pas un chapeau rempli de miette, mais deux chapeaux, Tsedaka, Mitzvot, ces deux chapeaux de pain, à Auschwitz, sont un trésor, car tous sont affamés, mais aussi pour sa farine faite du blé de la nature, mais surtout depuis la solidarité, l'amour, l'entraide, de tout ceux qui, depuis un monde ultimement difficile, n'oublient pas d'être des hommes, des êtres humains dignes, civilisés et fraternels. Voilà Yenkele et son ami qui mouillent alors les miettes avec de l'eau pour en faire une grande boule de mie et les voilà, ces deux jeunes garçons, devant le Rabbin, qui en mangeant ce pain, en reprenant des forces, sait aussi comment ce pain a été façonné et sait la nature sublime des deux jeunes hommes qui sont en face de lui. Le rabbin, avant de mourir, a repris des forces grâce à ce pain, un peu, et le jour de la fête dans ce camps, il a chanté, un chant ininterrompu depuis des centaines de générations, un chant dont le sens est si puissant que même son étude est complexe et faite pour des êtres élaborés, un chant qui est si juste et beau qu'il triomphera toujours car ce chant est comme le temps, il a l'obstination de la vie, de la justice, de l'émotion, de l'intelligence, de l'amour, du tikoun olam, du m'ashiah et de la gueoula, un chant qui va vers le destin délivré de l'humanité, un chant qui à une route, comme la lumière des étoiles avance tout en clarté quelque soit l’abîme. David, prouve qu'il a en plus de sa force la sagesse de Joseph, car sa harpe sonne juste, et le triomphe est immédiat, évident et fulgurant. Merci d'avoir chanté pour l'enterrement de mon ami, merci à vous et à l'oiseau. L'oiseau parce que H'ashem l'a fait en premier et l'a fait magnifique. Vous parce que du mieux possible, vous avez accompagné l'élévation de l'âme de mon ami jusqu'au Gan Eden, sans que jamais le chant ne s'interrompe, afin que toujours l'homme soit à la hauteur du souffle de la vie qu'hachem lui insuffle, un souffle évidement bon et beau. Ce même souffle chanté par le Rabbin de Auschwitz qu'avait nourri Yenkele, car en vrais, parce que les cœurs sont timides j'ouvre à présent mon intention : c'est au nom du Rabbin de Auschwitz que je vous remercie d'avoir chanté pour Yenkelé. Certain qu'à présent, connaissant l'histoire, vous comprendrez. Bien à vous. Que votre descendance soit éternelle, juste et heureuse. Mazel U bracha.

Quel est votre mot préféré ? Aurore.

Le mot que vous détestez ? Abîme.

Votre drogue favorite ? Le THC sous forme de weed très forte.

Quelle drogue détestez vous ? L’héroïne pour ses ravages ainsi que les autres drogues meurtrières.

Le son, le bruit que vous aimez ? L'ouverture des variations Goldberg notamment l'Aria de Bach joué lentement sur un grand Bosendorfer par Glenn Gould.

Le son, le bruit que vous détestez ? Les sons trop forts, les fausses notes et les mauvaises cacophonies. Ainsi que les pleurs de gens en souffrance dans les films d'épouvante.

Votre juron, gros mot ou blasphème favori ? Va te faire enculer fils de pute.

Quel Homme ou femme pourrait illustrer un nouveau billet de banque ? Mozart, Bach, Beethoven, Charlie Parker, Stephan Grapelli, Nina Simone, Michel Pettruciani, Billie Holiday, sun ra, Stanley Kubrick.

Le métier que vous auriez aimé faire ? Pianiste de Jazz, chef d'orchestre, Astronaute, détective privé américain avec une libido en pleine réussite, réalisateur et acteur de films de fiction, saxophoniste de jazz et compositeur. Mais aussi, policier, juge, avocat, médecin, chirurgien, médecin de guerre.

Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ? Tueur à gage, boucher, bourreau, soldat criminel, gardien sur la tourelle d'un camp de concentration génocidaire, juge corrompu, policier ripou, proxénète, esclavagiste, homme de main, tortionnaire.

La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ? Un chaton. Ou un oiseau capable de voler haut.

Si Dieu existe, qu’ai­meriez-vous, après votre mort, l’en­ten­dre vous dire ? Voilà tout les tiens qui avaient disparu, et un jour viendront les autres car c'est le paradis ou tout va bien et ou l'on est ensembles pour l’éternité.

L'algorithme financier mondial, il faut le savoir, est depuis sa nature guerrière une tricherie faisant du tricheur, le temps de la supercherie, le maître du monde. Or, ces derniers temps, la tricherie, durant la présidence de Trump incarnant l'aile rapace des républicains, a doublée, créant un larcin systémique estimé à 2 000 milliards de dollars et générant dans un effet de planche à billet kamikaze les conditions idéales pour générer, bientôt et devant nos yeux, la plus sidérante et spectaculaire crise économique de l'histoire de l'humanité. Explosant ainsi les scores de dettes, de famines et autres carences, de souffrances et, car ce type de drame est profond, frappera d'une violence phénoménale une large partie de l'humanité, qui souvent n'adhère pas à la violence et à l’égoïsme des richesses mal acquises, qui se rebelle devant les injustices d'exploitation et qui, à cause de la dette, va perdre l'intégralité de ses combats. Les riches, eux, habitués à être égoïstes, profiteurs et dominateurs, auront aussi, comme des nazis d'élite, à être abjectes, à pousser plus loin leur voracité et leur haine. Or, les satisfactions malsaines des complexes de supériorité et autres névroses, piquent comme de l'acide sur une langue de serpent, mais n'ont jamais le gout du miel. Les riches sont comme les mouches qu'hypnotisent des réverbères, ils se croient artificiellement dans la lumière sans jamais connaître les réelles clartés divines du soleil.

Les pauvres résistent pour que les riches ne gâchent pas leurs vies, les riches eux, depuis leurs évidentes vie gâchées n'ont en réalité jamais vécus, ou si peu, ou si mal, et je parle des riches dévoyés car je connais une reine pacifiste qui a une couronne sertie d'un diamant plus cher que le soleil lui même. Si je me rend compte déjà, que j'ai perdu tout mes lecteurs, je continue. Nul n'a besoin de témoin pour ériger chacune des pierres de son temple intérieur.

La crise sera un remboursement forcé de la dette à travers une multitude de carences, un manque d'argent, toutes choses seront chers, il faudra se contenter du minimum, ne plus vivre épanoui, mais survivre cloîtré et faible. Les visages auront la grimace de la faim, et ceux qui n'avaient pas le cœur révolutionnaire, auront la bouche boudeuse des trahis et des humiliés, depuis le faux rêve qu'on leur vendait et le vrais cauchemar du sombre jour nouveau et gâché. Le plus beau, c'est qu'ils vous feront croire que la crise est un événement divin, comme ces faux papes qui vendaient des faux dieux et donc des fausses histoires : "ce d.ieu veut que tu tues ton fils", bon, si c'est d.ieu qui le dit, c'est mon sort ! Non, la crise doit être payé intégralement par ceux qui la génèrent et ceux qui s'en servent comme d'un outil pour saccager le peuple, l'affamer, le détruire et le dominer. Ceux qui feront confiance aux faux papes divinisant la crise, diront : "oh, c'est la crise, c'est dur, il faut souffrir et attendre" et ils apprendront à aimer les plus secs des croûtons, et ils seront une population partageant des choux avec les porcs des riches, eux, ces riches ignobles, gavés de chouquettes au foie gras d'oie salé au caviar. Ils gavent l'oiseaux divins jusqu'à la cirrhose pour déguster sa torture et affament leurs peuples pour traiter l'homme plus bas qu'une bête, les esclaves en Amérique étaient plus fouettés que les bœufs, jusqu'à la moelle ! Peut être qu'en voyant l'homme blanc fouetter l'homme noir, les bêtes autours étaient effarées et je sais que Nietzsche effondré de sanglots a sut enlacer un pauvre cheval, seul, souffrant et pourtant animé par le miracle de la vie.

Avant, si les riches étaient empestés par des pauvres, trop de pauvres partout, des pauvres trop bruyants, alors les riches envoyaient les pauvres s’entre-tuer à la guerre, et les pauvres, un tantinet abrutis allaient s'écharper la fleur au fusil dans des guerres ridicules intellectuellement en nous rapprochant du primate et ressemblant depuis des charniers abominables à l'enfer lui même, pire même peut être car les anges aussi sont en sang !

Depuis la bombe nucléaire, le pauvre n'est plus invité à s'autodétruire dans des guerres, sauf les guerres énergétiques, mais il est invité à crever la dalle et chialer durant chaque crise, avant l'homme était transformé en soldat afin qu'il tue et se fasse tuer, aujourd'hui l'homme est transformé en squelette rachitique afin qu'il ne puisse même pas se lever. La guerre et la crise diminuent l'homme, tantôt en le tuant et tantôt en le mettant sous perfusion.

Ainsi, la crise sera un événement pré fabriqué et divinisé qui perturbera les occidentaux pendant que le drame écologique générera le plus impressionnant et dégouttant saccage de l'humanité non occidentale. La logique malsaine étant, puisque les pays exploités vont-être pressés comme des citrons, souffrir et être à l'agonie et à notre merci, ne laissons pas nos peuples occidentaux les aider et eux aussi, pressons les par une dette et de cruelles et sévères restrictions. Ces riches qui pensent mal le monde ont des couronnes faites de haches sanglantes, quand la colombe passe elle chie sur leur crâne et moi, devant l'infinité et l’Éternité, je les maudis en voyant victorieux leurs enfants se détourner d'eux et me rejoindre parmi les vivants et les dignes et qui en sauvant ceux qui souffrent, s'incarnent en de grands êtres héroïques.

Putain on leur a tiré dans la tronche toute la journée, non stop, chtaba chtaba, on s’allongeait, le corps bien posé sur le sol fécond et sa verdure magnifique mouillant de froid nos treillis tout solides, comme aux cours, fusil sur l’épaule, l’œil dans la lunette, la croix sur le petit bonhomme humain au loin, en face, le frère animal, et bam, une balle dans la tête, au mieux, enfin, c’était le but, dans la tête, le petit bout de métal assassin lancé comme un crachat démoniaque, jusqu’à la mère qui perd son fils, la veuve qui n’aura plus sa bite à la maison et les longs baisers d’amour ultime et essentiel, les orphelins, chaque balle lancée crée, là, et au loin, un putain de drame, des larmes absolues, et nous, on était là, allongés, comme pour une sieste noire, et bam, la balle partait et mettait 2 secondes pour atteindre la cible, moins de 2 secondes, souvent, tout le temps en fait, le type dans le viseur ne se baissait pas, juste, son cerveau explosait, ou son bras, ou autre, et nous, on regardait dans la lunette, merde, la jambe, un blessé c’est bâclé, nous, hélas, là, on faisait du cadavre, alors il fallait viser et toucher la tête, c’était pas seulement le job, c’était le but qui nous ferait gagner la guerre. Bon, il faut dire que les types en face étaient des pauvres connards nés et éduqués en face et que nous, non, mais surtout, que ces connards nés par hasard en face étaient gouvernés par des fils de putes qui avaient déclaré la guerre contre nous, qui avaient commencé, nous globalement on cherchait pas la merde, ni nous ni nos putains de fils de putes de gouvernants, politiciens ou autres bâtards se déclarant supérieurs. Évidemment, à un moment donné, à force de tirer et de tirer, on se sentait atrocement mal, en effet des Mémoires de guerre de Laurent Voh An Mémoires de guerre Laurent Voh An 35 types qui foutent des bouts de métal explosant les crânes, ça vexe Dieu ou autre, d’autant plus que pour tout avouer, nous, enfin, nous 7, c’était ça : une balle, un mort, on était des putains de bons viseurs et par conséquent, tueurs. Au début, on était 123, j’aimais bien le chiffre, un, deux, trois, facile à retenir, hélas un putain de missile Wanker 7 nous fit passer de 123 à 47, soit 73 morts, franchement, ça a foutu un putain de froid, genre grosse mauvaise déprime et comme 2 ou 3 types comme moi avons vu, un, que le chef de section, un capitaine à la con, était mort, paix à son âme, et deux, que tous les survivants se chiaient dessus en devenant illico des victimes, ben on a décidé, à 7, de les laisser tomber, et de nous venger. On a commencé par quitter le groupe, là, un caporal je sais pas quoi nous a dit que non, qu’il dirigeait à présent, et nous, on a dit que si, on se cassait, et franchement, c’était chiant, parce qu’on voyait le type faire son rapport : 73 morts et 7 déserteurs et 20 blessés. En entendant déserteurs, on l’a assommé, et on a couru comme des dingos pendant une quinzaine de minutes, jusqu’aux bagnoles, des grosses 4×4, moi, j’avais jamais conduit et j’étais putain de jouasse, chacun sa bagnole, j’allais enfin pouvoir me faire un grand kif dans ce semi-désert, et puis, tandis que je commençais à rouler à fond avec les autres qui étaient tout jouasses et tout libres, comme des putains de kids avec des droits d’adultes dans un monde sous LSD, on a vu, mais de nos propres yeux, au-dessus de nos putains de têtes un autre Wanker 7, et bam, le voilà qui retombe au même endroit que le précédent, évidemment le premier réflexe a été de freiner, et un d’entre nous, qui avait sympathisé avec un de ceux qui étaient restés nous a dit qu’il allait voir, et nous, en le voyant rebrousser chemin à fond, on scrutait le ciel, au cas où l’on voie un autre de ces putains de missiles. Une trentaine de minutes plus tard, on le voyait revenir avec tout ce qu’il restait des survivants, c’est-à-dire un type, un pauvre type tout putain de défoncé, brisé, tranché de partout. On a roulé pendant 2 heures, droit devant, on savait où on allait, et au soir, on a pris une route qui montait, et une fois au sommet on a posé notre blessé contre un arbre, pour qu’il voie la vallée et l’horizon, et puis il est mort. On était plus des déserteurs, on était la compagnie tout entière, de là, on pouvait faire marche arrière, rentrer au pays, et avoir une médaille, rien que pour avoir survécu, mais de la merde, on allait défoncer la gueule des fils de putes qui nous tiraient dessus, en tout cas moi, je savais que je ne partirais pas avant d’avoir créé avec mes propres armes un putain de cadavre, je, devais, dézinguer, flinguer un fils de pute, vous savez comme quand on est pauvre, qu’on a pas de 36 thune et que pourtant on sent qu’on va lâcher le gros billet pour acheter des putains de chaussures à la con super chères et super pas dans le budget, et qu’on est dans le centre commercial et qu’on a l’intuition qui hurle : nonnnnnnn, ne fais pas çaaaaaaa. Et que quand même on cherche le putain de magasin qui vend ces putains de chaussures vernies rose fluo avec des pompons pour crooner, ben là pareil, j’étais borné, têtu, possédé, motivé, les connards de militaires diraient déterminé, furax, mi-cinglé mi-dangereux, et croyez-moi, en face, ils avaient du mouron à se faire, j’allais flinguer et flinguer et flinguer. D’où on était, pendant qu’on enterrait notre pauvre gars, on voyait toute la vallée, et franchement, là, la nuit, ben c’était la merde totale, la merde de chez merde, y avait des bruits de guerre et des lumières d’armes partout, c’est venu comme ça, au fur et à mesure, au bout d’une heure toute la vallée était un putain d’immense champ de bataille, il faudrait être cinglé pour faire une métaphore du genre : comme des lampions qui scintillaient décorant le grand arbre de Noël du meurtre, de la merde oui, pas de métaphore, en bas, tout le monde flinguait tout le monde, franchement, compte tenu du nombre de détonations diverses, c’est presque certain que les types se dézinguaient même entre eux, qu’un soldat troufion tuait par erreur un colonel « cassecouilles » lui-même flinguant des civils, ça n’a pas cessé, rien, toute la nuit, nous évidemment on était pas pressés de descendre, on comprenait rien à cette merde, on aurait même pas su par où descendre et où aller. De nous 7, y en a un pourtant, tout nerveux et motivé, le plus jeune comme par hasard, qui voulait y aller, ce soir-là, on a su que cet abruti devait nous avoir comme protecteurs toute la guerre tant il était con, et lui, ce même soir, je pense, nous a pris pour des lâches. Parfois, mais quand même souvent, y avait des missiles et autres trucs bien chargés qui explosaient, c’était impressionnant, et nous tous, même le jeune assagi, on commentait, pas pour faire la parlotte, mais pour comprendre, pour échanger des informations et des connaissances, un truc lu par-ci par-là, ou un cours militaire appris par cœur. Parmi nous 7 y en avait un, musclé comme tout, il a jamais voulu dire son nom, et celui-là, ça se voyait, était passionné par la guerre avant la guerre, alors lui, il parlait le plus et nous expliquait le truc, pourquoi les missiles tombaient là, à tel moment, pourquoi la vallée était à feu et à sang, pourquoi la rivière était capitale la nuit et inutile le jour, pourquoi, à cause de la double colline en face, il était impossible de passer par la droite et là où il nous a bien bluffés, c’est quand, bien avant l’aube, il nous a dit : « On bouge maintenant, ça va canarder ici. » Ce qu’on a fait et franchement, quand 40 minutes plus tard 37 j’ai vu notre ancienne position sur le sommet se faire canarder d’une bonne trentaine de missiles, je me suis dit que oui son : « On doit partir car chaque camp va pilonner les extrémités des zones de combat » était putain de valable, il nous avait sauvé la vie, ce jour-là, j’admettais qu’un type militariste musclé de province pouvait être utile au beau gosse intello artiste de la capitale que j’étais. Quand on a vu les putains de boules de feu que faisaient les explosions, on l’a regardé avec gentillesse pour le remercier, mais lui il était déjà ailleurs, réfléchissant au terrain, et puis un d’entre nous a dit, parce qu’on était encore vivants : « Les fils de putes, ils ont bombardé la tombe » et ça nous a rendus tristes. Une fois en bas, avec la lumière de matin qui naissait relativement, tout était plus compréhensible, c’est simple, y avait des cadavres partout, au début ça choquait, très vite c’était devenu le décor. Je sais pas pourquoi, y avait des cadavres brûlés et tout jaunes, très très jaunes, franchement, j’avais pas envie de demander à monsieur Muscle quelle putain d’arme faisait ça, certain que ça me porterait malheur, et peut-être pour ne pas avoir trop peur, je me disais inconsciemment que non, je voulais pas mourir en étant atteint par la mort jaune fluo, d’la merde, je voulais un truc classique au pire, genre balle, trou et sang rouge. Les types d’en bas qui avaient survécu avaient, mais tous, des putains de tronches fatiguées, presque tous blessés ou à moitié dingues, et nous on avait honte en les voyant, nous qui avions passé la nuit tranquille sur les sommets, sauf le jeune, lui il nous regardait tout remerciant, oreille basse comme un chien ayant chié sur la table du salon et attendant sa remontrance ou au pire, je sais pas, un coup de journal, ou autre truc à la con. Au fur et à mesure qu’on avançait on prenait des types avec nous, et puis au bout d’un moment, on a croisé un gradé, là, il nous a pris 4 voitures, il est parti avec, on sait pas trop vers où et pourquoi. Nous on filait tout droit, on était nos propres maîtres et quand on nous demandait qui on était on répondait : on est la compagnie 1984 et putain de merde, ça faisait du bien d’être nos propres chefs, alors on faisait tout pour pas être rattachés à une autre compagnie, c’était comme des vacances, du tourisme. À un moment donné, y a une bonne centaine d’avions qui sont apparus, le truc chouette c’est qu’ils venaient de notre camp, mais franchement, quand on a entendu sans les voir le vrombissement des réacteurs, on a flippé grave. Là, le Muscle man a sauté de joie, et il criait : « 200 000, au moins 200 000 » et une fois calmé, il nous expliquait que compte tenu des combats d’hier soir, le camp adverse était solide d’au moins 200 000 soldats, mais que là, les 38 avions, arrivés les premiers, allaient à peu près tous les défoncer. Et ça a duré à peu près 80 minutes, mais on voyait les avions passer, tirer, passer, tirer, c’est dingue, des types en face crevaient par centaines chaque minute et nous cette putain d’atmosphère nous rassurait, on se sentait protégés et en plus, victorieux. Vers le milieu d’après-midi, tandis qu’on avançait, on a croisé le général Hamton, un putain de mythe, fils d’un armateur mort assassiné et de l’ex-ministre des Affaires étrangères, sorte de princesse ex-ballerine d’une famille pleine de châteaux. Seul lui était serein, bosseur, discipliné dans son travail, franchement il gérait. Par respect on a un peu squatté son bataillon pour aider et puis un de ses capitaines nous a envoyés faire les chiottes, tous les 7, là, on s’est cassés, tout droit, vers le reste des connards à flinguer, il nous restait une bagnole, de la bouffe et nos fusils à lunette, de temps en temps, on s’arrêtait pour chier dans les fourrés ou pisser contre un arbre. On arrivait vers la double colline, le camp adverse, on avait bien roulé, et là on a dépassé la montagne et on est arrivés, c’était dingue, y avait un nombre incroyable de morts, on pouvait voir comment ça s’était déroulé, l’armée adverse avait passé la nuit en tentant de prendre la vallée et la rivière, puis bredouille, s’était retranchée, par groupe de 2 000 hommes, de l’autre côté et là, nos avions étaient passés, et avaient flingué les types, 2 000 par 2 000, bababababam, un passage, 20 000 morts, bababababam, un autre passage, 40 000 morts, en ligne droite, babababam, je pense qu’il y avait bien 400 000 cadavres devant nous et j’étais certain que ça puait la mort en bas, eh bien je n’eus pas à descendre, l’odeur monta jusqu’à nous. Comme ça puait grave et que se balader dans un cimetière ouvert nous branchait pas trop on a décidé de ne plus avancer, on a bouffé et on a fait un campement, et puis soudain on a entendu par la radio qui était dans la voiture le capitaine nous gueuler dessus en nous disant que les chiottes étaient bouchées et là, on lui a dit qu’on était presque de l’autre côté, que y avait plein de morts et qu’on avait gagné la bataille et lui, il nous beuglait dessus comme un porc, en nous faisant flipper grave de mille menaces martiales, et puis soudain, aussi incroyable que cela puisse être, on a vu parmi les morts des types se relever, et des groupes se former, merde, l’armée adverse, enfin ses quelques survivants, existait encore. On l’a dit au capitaine Du Con, pour faire les fayots et il nous a gueulé : « mais snipez-les bande de crétins, snipez-les, on arrive », et c’est vrai qu’on avait pas eu le réflexe. Nous étions, nous et les 300 autres inventions guerrières inventées par jour, le fleuron de notre armée, un truc nouveau, des 39 snipers à longue distance, nos putains de fusil tiraient des balles autopropulsées à redirection initiale, un truc de fou, globalement, on visait, il fallait bien viser et on pouvait flinguer des types à 10 km en 2 secondes, fort quoi ! Et c’est ce qu’on a fait, pendant quoi, 4 heures, on a flingué tout ce qui bougeait en face. Au début, je dois l’avouer avec la plus grande des hontes et la plus violente des inhumanités, on ne pensait pas aux vies que l’on tuait, aux pauvres gars, baignant dans les cadavres, sous le choc, qui osaient refaire surface, mais on pensait à cette seule et unique chose, réussir, réussir à tuer, viser la tête, appuyer sur la gâchette et regarder le type tomber et viser à nouveau. C’est juste au bout de 20 minutes, quand on commençait à faire du 100% de balles dans la tête, qu’on maîtrisait totalement notre effroyable discipline, qu’on a commencé à avoir la gerbe et à comprendre l’horreur de ce que l’on faisait. De temps en temps, on fumait une clope ou on bouffait un peu, et puis on retournait s’allonger en choisissant tel ou tel rocher pour nous abriter et on flinguait, c’est simple, toutes les minutes, y avait environ 25 coups de feu, par personne, on était 7, soit 175 coups de feu, et autant de cadavres. Le truc, c’est que le bataillon 1984 était composé de très bons tireurs, uniquement l’élite, donc, on savait très bien tous, qu’en 4 heures on avait buté 42 000 personnes et que ces types flippaient tellement grave du retour des avions, qu’ils ne viendraient jamais nous attaquer. C’est ce jour où j’ai commencé mon premier combat et j’ai tué à moi seul plus de 5 500 personnes. Quand les nôtres sont arrivés, avec le capitaine devant sur une de nos putains de bagnoles réquisitionnées, on a continué à tirer, pour faire les faux-culs et un de nous 7, le très brun et très beau gosse, enfoiré de beau gosse, genre italien, a dit : « Capitaine, nous avons tué environ 70 000 personnes » et là, au lieu de nous engueuler, il a regardé le camp adverse, et il a vu l’atrocité, les 400 000 cadavres, putain ses yeux étaient globuleux et là, il ne cachait rien, pas de stratégie d’officier devant le soldat lambda, mais un putain de regard ahuri, il s’est retourné vers nous, presque fâché, comme si nous avions fait tout ça nous-mêmes et il a hurlé à sa compagnie : « On descend, et on les flingue tous, on massacre tous ces types, y a du boulot, on y va ! » et ses gars ont foncé. Et lui, ce capitaine voleur de voitures et donneur de corvée de chiottes a installé son campement près de nous, puis le général l’a rejoint, et la nuit est tombée, vite, très vite, peut-être aussi parce que j’étais épuisé. Et là, j’ai compris, en voyant toutes les petites lumières dans la nuit, j’ai compris la bataille de la veille. Notre Muscle man du groupe était tout fou-fou d’être à côté du général, et il nous amenait des infos de temps en temps : « Hier on en a tué 20 000 40 avec les avions, puis pendant qu’on avançait dans la vallée ils nous ont attaqués par surprise, ils avaient fait une fausse retraite » et il continuait en expliquant que l’armée adverse avait lancé le combat pour fusionner avec nous et être protégée des avions, qu’on les avait repoussés, et on sait pas pourquoi mais ils avaient décidé de fuir groupés, et là, les avions d’aujourd’hui avaient flingué tout leur front ouest, parce qu’on avait aussi, il paraît, gagné une bataille en mer contre leurs porte-avions. Logiquement il restait en face de nous 1 million d’hommes, qui logiquement se feraient flinguer ce soir ou demain matin par nos avions, en quelques heures, en vrai, en moins de 2 heures. Comme j’avais flingué tout un tas de types toute la journée, je commençais à connaître la tronche de l’ennemi et là, toutes ces tronches, je les imaginais, par millions, à quelques kilomètres, attendre, sans savoir qu’une mort certaine les attendait, par pitié et par gentillesse, j’avais envie de leur crier : « Hey, partez, rendez-vous, abdiquez, mais ne crevez pas par millions », vraiment, j’avais pas envie que ce million de types, des appelés, des pères, des fils, obligés d’entrer dans l’armée, de force, ah les pauvres, meurent, 1 million d’hommes de plus allaient mourir, cette putain de journée de merde quand même. Moi, j’avais mal à l’index, les yeux qui picotaient et un début de migraine, j’attendais qu’on trouve une feinte pour aller dormir après 32 heures d’atrocité dans la face, et là, le capitaine nous a gueulé dessus, pour les chiottes, puis il nous a montré le champ de bataille en bas « et vous les aidez pas ? » On lui expliquait qu’on était que des snipers et que nos fusils à lunette s’utilisaient le jour et qu’en combat rapproché de nuit, ben on était des merdes, et là, drame des drames il nous lança : « Et les nouvelles lunettes, on a reçu y a deux heures les lunettes à vision nocturne », putain, celles qui devaient être inventées selon notre instructeur de tir dans 10 ans !!!!!! Nous ne dormîmes pas ce soir-là non plus, et diable, ces lunettes marchaient, même à 20 km !!! Je dois avouer que le premier de nous 7 qui tira lâcha un abject : « Tête, 14 km. » Et que pire, je cherchais pour ma part, tirant le second, quelqu’un à 21 km pour tester l’arme : « Cœur, 21 km », je réessayais : « Tête, 20 km et 200 mètres, stable » et les autres, calmement mais réellement, s’installèrent, et nous tirâmes, certains, tous, d’être des démons, en enfer, dans la nuit la plus noire et froide de nos vies, damnés et imprésentables à jamais. Et puis elle arriva, elle s’installa à nos côtés ajustant la lunette nocturne sur son fusil, elle était longue et son visage était terrifiant de beauté. Elle nous lança un « messieurs » et se mit à tirer au loin, une fois, elle fit un oui de la tête pour elle-même, elle avait touché la tête d’un type, puis elle respira fort et continua à tirer, elle le fit pendant 8 heures 41 sans aucune interruption, nous, nous pleurions tout en tuant, si elle était là, c’est que notre armée du sud était tombée, notre armée de femmes, et qu’elle nous avait rejoints. Pendant la nuit, deux bataillons de femmes passèrent devant nous, à l’aube on voyait environ 40 000 femmes soldats arrivées sur la plaine de la veille. Beaucoup, mais trop peu ! Les salauds avaient décidé de mettre toutes leurs forces sur notre armée de femmes !!! Ils allaient nous le payer, les fils de putes accouchés par l’anus, ils allaient nous le payer !!!!!!

Étrange poème d'Arthur Khanh.

Ai-je révélé notre secret des premiers degrés, Toutes tes irrégularités, même Anglaises m'amusent, Aucun secret n'existe quand dans l'injustice tu te complais, Je ne trahis pas les choses cachées, tu souilles nos savoir et tu en abuses,

Je te le répète, ta louve TE loge discrète, Ma louve SE loge secrète, Approche un peu que je te guette, Et vite que dans la benne ton cadavre je le jette !

Et la prochaine fois que tu oseras poser sur le tombeau d'Hiram des humains sacrifiés, C'est que tu veux faire d’Abraham un homme à la descendance maudite depuis tes méfaits ! Tu ne tiendras ni dans l'infinité, ni dans l’éternité, Et j'ai depuis mon temple intérieur découvert une ultime sagesse pleine de beauté !

Quand à ceux qui t'aiderons pour protéger le trésor, quand ils ouvrent la boite de joyaux, à présent, ils s’enivrent de morts ! Mes secrets servent le monde, afin que la paix trouve son havre, En souillant nos pouvoirs ton monde n'est qu'un champ de cadavre.

Qui se lève et dit non ? Qu'importe ! Je n'aide pas les assassins, mais j'aide les victimes, qui sont du bon coté de ma porte, Tu es profane à jamais, et j'ai pour le démontrer, dans le ciel de grands anges, ceux la même que sur terre tu as tué !

Les Français de souche, voilà la merde qu’on entend en boucle, merde parce que cette souche est celle d’une atroce culpabilité raciste, colonialiste, esclavagiste, misogyne, homophobe et fondamentalement d’exploitation de l’homme à outrance avec une élite de névrosés exacerbant leurs complexes de supériorité, et de l’autre coté, une immense bande de soumis incultes et rageux, en fait, sa race, je viens de décrire en maître ce qu’est la France !

Parce que, j’ai envie de dire : bande d’abrutis, la souche c’est Victor Hugo qui lutte contre la misère là ou vous la générez et la détestez, la souche c’est Rimbaud, le maître absolu de la poésie Française, qui chie sur l’intégralité de vos maison d’édition et cercles attardés de poètes, tous tout autant minables les uns que les autres, ce même Rimbaud, lassé de cette France idiote et moisie, qui a pris toutes vos colonnes vertébrales risibles et pathétiques pour les briser en deux, et qui va, partout sauf dans cette France engluée dans sa profonde crasse décérébrée et mesquine, oui bande de crétins finis que vous êtes, lui va chez les arabes, les noirs, les musulmans, lui se marie avec une Africaine tandis que vous pourrissez dans une France moisie par la haine, lui cette France, il la modernise, il l’humanise, un homme, une terre, c’est cela la France de Rimbaud, elle ne se crispe sur elle même, Rimbaud lui l’étend et il réussi tout les défis de l’humanisme Républicain Français.

J’ajoute, s’il le faut, vos repère moraux que vous trahissez, le Christ et L’abbé Pierre auraient honte de vos paroles ignobles, pourtant ils sont vos guides culturels et surtout, les lettres d’or de la République : Liberté pour les Blancs de souche ? De la merde, en lettre d’or c’est : Liberté universelle, égalité universelle, Fraternité Universelle, et tout les enfoirés de merde qui ne sont pas d’accord, allez y, prenez les pinceaux immortels, puisez dans le bol d’or l’encre d’or, et écrivez bien en haut des bâtiment : liberté, égalité, fraternité pour les blancs de souche, et moi, je vous tuerai en bas de la première marche de l’échelle avant que vous n’osiez souiller l’intégralité des murs de MA REPUBLIQUE à la souche sublime, oubliée et dévoyée.

Mais je n’ai pas à vous tuer, la belle souche ancienne refuse de vous voir naître et d’être Français.

Quand aux Elections ?

Notre fausse démocratie qui n’est rien d’autre qu’une vraie dictature m’amuse durant les élections présidentielles.

Tout est faux, tout, mais pire, tout est odieux !

L’âme humaine, ces politiciens le prouvent, peut être ignoblement abjecte. L’âme peut puer.

En vrais il n’y a pas d’élection, tout n’est rien d’autre qu’un dressage, une formation vidéo qu’offrent des dominants à leurs sous espèces de sous citoyens autant trahis que soumis.

Vous n’allez pas élire un président, vous allez bouffer nuit et jours de la chienlit mentale médiatico-propagandiste, avec ses hordes de pingres, de bonimenteurs, de populistes, des fous en fait, l’immense gloire du Fascisme Imperial Néo Liberal Américain, est de réussir à vous proposer 20 candidats dont, chef d’œuvre, 20 fous !

En vrais, y’en a pas un seul qui est intelligent dans le lot, en vrais ils ne se font pas aimer pour la fraternité qu’ils vous offrent parce que en vrais ils vous aident à détester. Dans ce monde qu’ils gâchent, il faut que vous adhériez en moisissant de l’intérieur.

Vous n’aimez pas le monde d’usine, de banque et de supermarché qu’ils vous obligent de vivre, mais comme ils gâchent vos vies et que vous êtes boudeurs, et qu’il vous faut depuis votre nature bernée une vengeance, alors ils sont vos guides à haïr.

Un peuple de zombies qui suivent des monstres, le spectacle de ma démocratie souillée et du fascisme américain accouche salement ces maudites élections bidons, bidonnées, bidonnantes, bafouilleuses, lassantes, crasseuses, venimeuses, abêtissantes, punaise, c’est le mot, loin d’être des démonstrations d’intelligence ces élections mettent toutes les haines et toutes les bêtises sur un piédestal, qui n’est rien d’autre que la planche du condamné, car vous avez ouvert l’abîme des chaos écologiques et sociologiques, vous êtes allez trop loin, le vent se lève, il faut tenter de vivre, le roseau va plier, le chêne se déraciner, vive les tempêtes ! Je sens que la nature va punir ceux qui dominent l’homme, je sens que la verve de la nature va soumettre ces mauvais rois, ces mauvais maîtres, ces tyrans, chouette, ils vont tous crever !Alors choisissez votre présidentiable crétin favori, et haïssez les crétins qu’il vous invite a détester.

Ce qui je vois moi, c’est que partout et tout le temps, la condition humaine régresse et ce déluge cataclysmique écologique est la conséquence de notre profonde et dégradante bêtise.

Nous mourrons bêtes, mais si cruels, alors certains sages ont raisons d’aimer l’extinction humaine, trop de laideur, c’est évident, aussi belle soit elle l’humanité génère trop de laideur. La vie elle se porte bien, elle aura tenté de faire vivre l’homme, elle aura échoué. Qu’elle se débarrasse de son fardeau ! Puisque de toute façon, en mourant, l’humanité n’a que les crachats de son venin pour toute réponse ! L’être humain ne veut pas vivre dans l’amour, l’être humain veut souiller. Alors qu’il disparaisse de la beauté de la vie !

TEAM VO ANH : FIRST NFT FRENCH LOVE CHAIN & PROOF OF LOVE collection image

Hello, my name is Laurent Vo Anh. I'm the major french independant artist with 10K collectionners and multi million views on TIKTOK.

Web : https://enft.fr

Mail : laurentvoanhofficiel@gmail.com

Vidéo : https://tiktok.com/@monopol.group & https://tiktok.com/@laurentvoanh.officiel

Collection 1 with 18 200 NFTs : https://opensea.io/_Monopol_?tab=created

Collection 2 with 7 000 NFTs : https://opensea.io/Satoshi_Nakamoto_gardian?tab=created

Collection 3 with 2 500 NFTs : https://opensea.io/ROLEX-YACHT-CLUB?tab=created

Collection 4 with 3 600 NFTs : https://opensea.io/Laurent_Vo-Anh?tab=created

Contract Address0x2953...4963
Token ID
Token StandardERC-1155
ChainPolygon
MetadataCentralized
Creator Earnings
1.5%
keyboard_arrow_down
Event
Unit Price
Quantity
From
To
Date