n°7 : false

The number 7 was chosen due to its visual similarity with the scythe as well as in reference to the 7 deadly sins (greed, sloth, gluttony, anger, lust, envy, pride) and their close connection with egoism, all the deadly sins are related to pleasure and satisfaction of the "I".

"All of them lead to that of pride, but they all come down to that of egoism. He, therefore, who is not selfish is necessarily also an enemy of pleasure, for having become master of himself, he has obviously mastered them all."

       - Chapters of the disciples of Evagrius, ch. 69 (Géhin, p. 168)

(In French "Faux" defines the false, a false person and the scythe). False, which will act here in its double definition that of the tool in reference to the evil, to the death of which the famous reaper as well as to define the false, the falseness of a person that which dissimulates its objectives and its real feelings.

Let's look at the work, the idea is to imagine the help in its different forms, benevolent or by selfishness.

The storm and the bad weather define the problem we are facing.

The umbrella symbolizes support in the face of problems defined here by bad weather. It has a clean, clear side expressing unfailing help represented by the canvas but we notice that the solid parts are pixelated, blurred to warn the mind that this help is not clear, true, that it may not be as altruistic as it seems.

The outstretched hand holding the umbrella for the benefactor and the handle in the shape of a scythe for the malevolent, if you close the umbrella's canvas and reverse the direction of the umbrella it turns into a scythe, a kind of deception to reveal the true nature of this support.

According to Immanuel Kant, men do not do evil for evil's sake but for their own good, which places egoism as the foundation of all sins.

// n°7 : faux

Le numéro 7 étés choisis dû à sa similitude visuelle avec la faux ainsi qu’en référence aux 7 péchés capitaux (l’avarice, la paresse, la gourmandise, la colère, la luxure, l’envie, l’orgueil) et à leur liaison étroite avec l’égoïsme, tous les péchés capitaux se rapporte au plaisir et a la satisfaction du « je ».

« Toutes aboutissent à celle d’orgueil, mais se ramènent à celle d’égoïsme. Celui donc qui n’est pas égoïste est forcément aussi ennemi du plaisir, car devenu maître de lui, il les a évidemment toutes maîtrisées. »

       — Chapitres des disciples d’Évagre, ch. 69 (Géhin, p. 168)

Faux, qui agira ici dans sa double définition celle de l’outil en référence au mal, à la mort dont la célèbre faucheuse ainsi que pour définir le faux, la fausseté d’une personne celle qui dissimule ses objectifs et ses sentiments réels.

Intéressons-nous à l’œuvre, l’idée est d’imager l’aide sous ses différentes formes, bienveillante ou par égoïsme.

L’orage et le mauvais temps définissent le problème auquel on est confronté.

Le parapluie symbolise le soutien face aux problèmes ici définis par le mauvais temps. Il dispose d’un côté net et limpide exprimant une aide infaillible représentée par la toile mais on remarque que les parties solides sont pixélisés, floutés afin d’avertir l’esprit que cette aide n’est pas clair, véritable, qu’elle peut ne pas être si altruiste qu’elle en a l’air.

La main tendue tenant le parapluie pour le bienfaisant et la poignée en forme de faux pour le malveillant, si on ferme la toile du parapluie et qu’on inverse le sens ce dernier il se transforme en faux, une sorte de tromperie pour révéler la vraie nature de ce soutien.

D’après Emmanuel Kant les hommes ne font pas le mal pour le mal mais pour leur bien à eux, ce qui place l’égoïsme comme fondement de tous péchés.