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Ce soir, je me suis promené dans le quartier touristique du centre ville de Ho Chi Minh Ville, je connais un coin, ou les femmes de plus de 30 ans, souvent des femmes divorcées, des mères célibataires, des travailleuses ayant peu de temps libres, viennent et s'assoient, et quand un homme leur plait, alors ils vont ensembles faire l'amour, il existe d'ailleurs près de Hanoi, un petit lac ou ce type de rencontre s'organise, et ce depuis des centaines d'années, c'est souvent romantique, doux et charmant. Oubliez youporn et sortez les harpes !

Moi, j'ai très souvent l'habitude de m'assoir dans ce coin là, tout charmant, avec quelques arbres aux parfums furieusement bons. C'est près des dames que je m'assois, et là, toujours, je les fait rire, c'est incroyable le nombre d'idées qui me viennent à l'esprit pour les faire rire, c'est fou d'avoir tant d'imagination, et cela se fait tout simplement, parce que, je pense, j'éprouve envers ses femmes un amour total, bien plus fort que le désir.

Elles rient, et puis je dis "allons à l’hôtel" et si elle me donnent une petite tape de réprobation je sais que tout se jouera à la phrase suivante, ou souvent j'invoque la notion de plaisir charnel, mais si il n'y a pas de petite tape nous sommes alors souvent déjà debout, moi dur, elle mouillée, en rut et en route !

L’hôtel est à 100 000 dong de l'heure, soit 4 euros et la décoration des chambres est toujours une source d'immense déception.

Quel hôtel choisir ? C'est bien simple, je choisis toujours le même, tout heureux de voir les garçons de chambre hilares, en me revoyant et revoyant et revoyant encore, c'est une certitude, depuis qu'ils me connaissent ils savent à présent que la fréquence d'acte sexuel d'un homme bien constitué est au moins 20 fois plus forte qu'ils ne le pensaient, c'est mon coté ludique.

Je monte alors avec les belles dames les escaliers ou les grooms peuvent entrevoir des talons aiguilles de chaussures parfois rouges et moi, derrière, furieusement motivé et l'air très sérieux.

Il y a deux écoles, celles pour qui la douche est le début, d'autres pour qui il faut, de suite, vite, vite, que les corps fusionnent, qu'une forme de bestialité et d'amour s'installe, mais surtout que le pacte soit signé, celui de deux corps et deux désirs assemblés et dans des sensations plus que divines, avec ou sans crasse, dans la sueur, la salive, la cyprine et le sperme, et torse contre torse, dans le jolie poids de l'autre, les cœurs battant fort comme de grands tambours annonçant le tonnerre et la lumière de ses éclairs prodigieux qui par écho, brillent merveilleusement dans les yeux de la belle, souvent déjà devenue, incontrôlable, scandaleuse, et qui de plus en plus coquine et comblée génère soudain une beauté terriblement attractive et merveilleuse pour celui qui la contemple et là, petit chef d'oeuvre, les faire jouir réellement, et coup de surprise, commencer à mieux baiser à l'instant même de l'orgasme de la belle, devenue animale, coup de surprise prolongeant et décuplant l'immense choc cérébral du bonheur.

De là, même quand on est repu, que l'on se rhabille dans une déjà dangereuse distance, on jouit encore, les organes pétilles et l'âme ressent tout ce qu'il y a de sensationnel lors ce qu'un homme et une femme, s'aiment et s’accouplent. Ajoutez y une fulgurante et vraie tendresse et vous avez la preuve scientifique que dieu existe !

Parce que si les relations multiples et éphémères sont un petit enfer, autant semer là, l'imparabilité du paradis. Je dirais même que si l'on cherche les plumes perdues des ailes des plus grands anges, c'est dans l'édredon des lits de mes chambres d’hôtel qu'on les trouve.

Mais il y a là une chose plus merveilleuse encore, ces instants d'une intensité immense avec des êtres prodigieux, les energies de l'amour qui se ressentent et se partagent, avec, des femmes exceptionnelles, toutes fines et toutes longues, ce que je les aime leurs longues pattes lisses et caramels, il y a ses bustes aux courbes parfaites, ses yeux étirés, très loin s'ils sont Chams et tout ronds s'ils viennent du nord et puis surtout il y a ses esprits, qui ne pleurent pas comme nous dans le métro parisien qui hurle sans cesse des avertissements pré-enregistrés contre le crime, non, moi, mes belles, font les bikeuses, roulent comme les beaux oiseaux planent dans l'air, et je roule à coté d'elles, sorte de balade italienne entre deux amoureux à Rome, gomina, petite jupe et "Monsieur Visconti" vous pouvez dire "ACTION".

Moi, mes belles n'ont pas peur de se faire agresser dans la rue et mieux, elles nous tapent, nous les hommes, à longueur de journée. Je sais à présent pourquoi elles nous donnent ces petites tapes amicales, c'est pour un seul et unique motif, nous dire, quand elle vienne de nous mettre une grosse droite dans la tête : "oh pardon, j'ai loupé ma petite tape" et nous de répondre en touchant la bosse naissante "Euh ! Oui je crois aussi". Mais surtout si les femmes n'ont pas peur dans la rue, c'est parce que si elles se font attaquer, alors, bébés, mamies, papys, travelos, postiers, taxis, passants, se transforment en Moines Kung Fu Shaolin et défoncent l'agresseur pour sauver la belle, qui déjà, amorce un processus collectif de lourdes tapes et autres coups de bâton, chaines en métal et parapluies, si c'est la mousson. C'est ainsi le Vietnam.

Vous, à Paris, par exemple, si une femme se fait agresser dans le metro, voilà vos attitudes :

1 - La femme est perdue, penser encore à elle est un hors sujet. 2 - Commencer à fuir tout en gardant une sorte d'élégance parisienne. 3 - Après ne plus regarder le crime, commencer à ne plus vouloir entendre, car la belle se plaint et demande de l'aide. 4 - Devenir enfin héroïque en aidant les autres lâches a sortir de la rame, et depuis le quai, voir les portes se fermer et la rame partir avec les roues en métal produisant un immense hurlement lié au frottement avec les rails, à moins que ce soit les cris de supplication de la femme abandonnée et restée seule avec son agresseur dans le métro. 5 - Recommencer à penser à la jeune femme déjà loin en appelant la police car le numéro de téléphone est gratuit. Zut, pas de réseau !

Et grosso modo, nous, à Ho Chi Minh City, nous inversons un peu la dynamique des 5 points.

1 - L'agresseur est perdu. Ils faut que des gens raisonnés évitent l’homicide en calmant la foule qui depuis 5 minutes organise des concours de coup de pied sautés directement dans sa tête. 2 - Ceux qui ont aidé la fille doivent commencer à fuir, car ils ont certainement tué l'agresseur. 3 - Entendre la fille rire sur le cadavre, ou l'être inconscient, qu'importe elle rie d'avoir gagné et contemple le visage en sang de son agresseur à présent bien calmé, remis à sa juste place en fait.

C'est une grande différence qui se ressent dans toutes les villes, car les grands mères font de la gyms dans les parcs à 3h du matin, croisant une petite fille de 12 ans promenant son petit chien mignon, les roses sont au rosier et c'est une belle vie sous un ciel immense et clair. Ici, la vie est belle comme la nature et tout cela fleurit. Ici, même la nuit est claire comme le jour.

Il y a plusieurs manières d'aborder le Vietnam, et les touristes baba cool ont des visions bien différentes de la bourgeoisie en grand hôtel, ce qu'ils sont épais et doux ces grands peignoirs blancs, même les chaussons.

La mienne est simple, j'active les photos en noir et blanc de Robert Doisneau. Je vais dans google image et je cherche ceci : "noir et blanc, période industrielle". Ici, au Vietnam, cette carte postale, s'active en couleur, en vie, dans le présent, en individus, en plaines.

Alors, si je croise tout d'un coup, à 50 km de Ho Chi Minh Ville, 2 000 ouvriers en scooters, tous avec des t-shirts oranges fluo d'une même firme, j'ai, prodige de la vie, Victor Hugo avec moi pour réfléchir sur la condition humaine, j'ai Rimbaud, celui qui tue les lourdes et laides conventions et ceux qui se vautrent dedans, le même Rimbaud, qui oppose cela à la nature, à la nature qui réside dans l'homme, et à tout ce qu'il y a de profondément merveilleux en nous lors ce que l'on enlève les inadmissibles et réductrices étiquettes, car cette libération a un gout d'étoiles comprises et émouvantes, mais j'ai aussi, tout les romanciers Européens et Américains de l'aire industrielle, et devant mes yeux, je vois tout se réactiver. Idem pour la gomina, les vespa, les serveurs en uniformes, les débuts de la techno, les blanchisseuses toutes en blanc dans l'immense bâtiment vert, la première roulotte de Monsieur Perlipinpin, mais attendez, Serge Daney me suggère quelques belles choses, quelques êtres à voir et peut être parlant de leurs sorts, changer le monde en l'améliorant.

Comme avec la méthode éducative de Georges Steiner, j'ai un bagage immense pour analyser les faits et mieux encore, comprendre et agir.

Aussi, si ici, je suis prophète sociologiquement, je suis aussi et peut être avant tout, en admiration totale envers la chose la plus importante qui soit, l'humanité pure et saine : retrouvée, et j'en ai la preuve.

La démonstration est simple, les gens que j'ai en face de moi, sont naïfs au point que c'est dangereux pour eux, de 0 à 8 ans ils se sont réveillé au son des poules, c'est la famille Ingals de la petite maison dans la prairie, avec une grosse dose de tortilla flat made in Steinbeck, en bout de course, déjà, psychanalytiquement, tu as un être intéressant là ou nous, occidentaux, nous bouffions du nutella bourré d'huile de palme dans des "immeubles cages à poules" et dans les oreilles le début de très mauvais fait divers, le tout, hypnotisés devant une télé hyper abêtissante. L'autre a des poules, des clodos majestueux, des grands mères édentées de cent ans qui se marrent défoncées aux herbes folles, et le tout fusionne dans un petit coin de rue magnifique et simple et toi, l'occidental, tu étais seul, berné, trahis et mourant.

Cela s'entend en fait, c'est simple, c'est audible. Cette gentillesse certainement ancestrale et universelle que l'on retrouve dans l'âme vietnamienne, on l'entend, dans la voix vietnamienne qui nous parle, et en réalité, l'être sensible et hyper attentif, ici, pleure tout le temps, à chaque mot entendu, à chaque "bonjour" car il ouvre un grand livre de l'humanité avec des personnages sublimes et essentiels qu'il croyait disparus.

En entendant certaines voix, d'amoureuses en particulier, en entendant la beauté et la pureté de ces voix, je me suis convaincu que ces voix venaient d'une âme et que cette âme spécifique était la plus belle et la plus puissante chose que l'humain sache produire. Et c'est incroyable de comprendre que cette beauté est sans défense et disparaîtra ! "Sauf si Ben Yossef et Ben David œuvrent ensembles." disait un ami, je confirme.

Cette voix, cette âme, je le sais, existait en Europe, avant que l’Amérique ne décline et que sont "copier coller" : l'Europe, ne soit aspirée dans cette spirale du déclin. Ne nous sommes nous pas habitué à la robotisation des serveurs d'un mac donald et à la robotisation de nos réponses, nous tout complices, dénaturés, éteints et asservis ? Pire ! Avons nous oublié qu'il existe autre chose, de plus pur et de plus beau, de plus naturel et de plus libre ?

En 1960, en 1975, Paris était joyeux, festif, doux et un peu yéyé. Cul cul la praline à souhait mais baisouillant par ci par là. En tout cas les filles se baladaient peinardes toute la nuit et c'était poétique et beau et cette merveille était une évidence. Les pires voyous étaient des rockeurs du type "Dick Rivers", et "merde" était le maximum de l'injure. En sortie de course, nous sommes en 2017, "Fist ta reum" sera au top 50.

Les gangsters des années 70 le disent, les nouvelles générations de gangsters sont des sérials killers, criminologie de psychopathe, tu oublies le gangster gentleman car Ted Bundy fait le braquage.

Parfois, la pire chose qu'ait faite dans sa vie la victime du braquage, c'est de dire "salope" en regardant un reality show de merde et à propos de "Cindy Bitch". Le braqueur lui en face n'a pas chaumé et pour lui "salope" est un adjectif qualificatif assez neutre et usuel, voir un compliment.

Un jour, le Vietnam sera ainsi, même saccage, mêmes zombies et une lumière blessée et seule dans un wagon.

En attendant, demain matin, BFMTV, vous fera gober du néo-big-brother, dans un pays ou tout les citoyens conspuent sont fonctionnement. Quand au Vietnam, je ne pourrais pas vous dire, car il m'est impossible de savoir si nous somme déjà le matin ou encore le soir.

J'ai 41 ans, et quelque part je n'ai pas d'age. Parfois je poste mes textes sur le forum lazone qui est le seul cyber mouvement littéraire originel et indépendant ayant continué d'exister, cette longévité est due à un homme passionné et honnête que je félicite. Puisque des rumeurs courent sur moi, je suis en effet Noahide du courant Juif et j'étudie la Torah avec un rabbin tout en étant un activiste sioniste très engagé dans la survie du peuple juif et l'établissement d'une paix durable au moyen orient. Je suis aussi journaliste pour la presse Israélienne et j'ai fondé le think tank Aliotfund ayant contribué à l'obtention de 600 millions de shekels à la Knesset afin d'aider les Juifs de France à fuir l'islamismo-nazisme. Je suis aussi un financier de haut niveau spécialisé dans la défiscalisation, les fonds d'investissement et je donne des conférences sur les mécaniques modernes du blanchiment d'argent. Soufrant de schizophrénie, d'autisme et d'une maladie mentale orpheline, je suis hélas sous tutelle depuis quelques années et bien que j'exerce une activité je suis bénévole et non rémunéré car je suis incapable d'assurer de lourdes responsabilités. Je suis aussi cinéaste, artiste contemporain, musicien et, hélas, écrivain. J'ai aussi fondé un think tank atlantiste regroupant les plus grands maîtres des obédiences régulières et irrégulières afin d'établir un dialogue interloge orienté sur un plan de survie de l'espèce humaine compte tenu des incidents et dégradations écologiques manifestement graves qui nous menacent. Ainsi mes pensés et mes travaux progressent. A cette étape de ma vie 7 choses composent mes préoccupations ultimes.

1 - 50% des espèces terrestres vivantes vont disparaître prochainement ou ont déjà disparu. Le couguar est déjà de l'histoire ancienne, concernant en tout cas les félins et non pas les femmes de plus de 40 ans qui elles se portent bien et une fois qu'on les porte c'est incroyable ce que l'on peut faire ensemble, en terme d'encastrement et de gestes mécaniques, profonds, rapides et répétitifs.

2 - Les saccages industriels sur l'écosystème semblent irréversibles et les scientifiques sérieux, tel Steven Hawkins, lui conscient des effets néfastes et ridicules que génèrent les prédicateurs d'apocalypses analysés par Nietzsche dans son Zarathoustra, disent, très accablés, tout simplement que l'humanité va disparaître dans environ 1 000 ans, soit encore 50 générations humaines. Ainsi, ce ne sont pas les virus, les cataclysmes, l'arme nucléaire, les monstres démoniaques des abîmes, les dragons noirs de l'enfer, qui ont tué l'humain, l'humain c'est tué tout seul avec cette chose : l'industrialisation aveugle. Je pense que c'est l'auto-génocide le plus stupide de l'histoire de l’univers éternel et infini. Il semble même évident, que la fourmi, le vers de terre, le koala, le chaton, le moineau, sans nous, auraient la chance de vivre des milliards et des milliards d'années en plus, ce qui nous invite à, depuis notre spécifique intelligence humaine, accepter aussi le bilan franc de notre spectaculaire débilité.

3 - Le chantier de l'élévation de la condition humaine semble à l’arrêt, voir, régresse. Le FN montre que les idées malfaisantes du passé se reconstituent en structures organisés et offrent sans culot et pour toutes lignes de mire l’éternelle cassure universelle créant alors sur terre une accumulation d'enclos débiles d'humains racistes, ce qui scientifiquement revient à appauvrir l'ADN jusqu'à la trisomie. Macron montre quand à lui que la planète est une usine, un super marché et parfois un club-med de luxe et que l'humain est un travailleur et un consommateur, ou, plus rare, un semi dieu débile et névrosé de l'hyper classe et la chose m’étonne car en contemplant la voûte céleste et les vastes horizons sublimes des formes de vie, je nous sens lésés, je pense que les étiquettes réductrices qu'ils posent sur nous et sur la vie et le monde, sont en fait les colliers de nos asservissements, et qu'il faut combattre cette injustice et, soyons clair, gifler, dans le sens symbolique du terme. Car s'attaquer à la condition humaine, c'est s'attaquer à quelque chose d'universel et donc, commettre un outrage ultime à la vie devant les yeux fâchés de quelques titans héroïques et éternels, qui souvent voir toujours, répondent présents à ce type rendez vous avec l'histoire, car en effet, il s'avère que dans le cas des deux candidats on obtienne à terme pour l'un, un cataclysme de l'écosystème et une disparition certaine de la vie humaine afin de satisfaire le CAC40 et pour l'autre un univers d'hostilité raciale, suivit lui aussi d'un cataclysme écologique inévitable. Moi qui suis fait de vie, je n'ai pas la mort en ligne de mire, mais des toutes petites et jolies graines qui sont à l'origine des plus immenses forêts.

4 - L'hyper banalisation des crimes est peut être une des choses les plus effrayantes, les très grandes famines, les guerres sales, l'impunité faite aux barbares qui pillent et violent des centaines de milliers de victimes sans qu'aucune bonne âme ne viennent les aider, tout cet immense bain de sang qu'insensibles et le cœur sec nous n'entrevoyons qu'à travers la lorgnette du prémâchage médiatique dans lequel nous nous affalons, montre, l'hyper insensibilité de l'homme envers l'homme. Après s'être entre-tué pendant des siècles, à la hache, la lance, l'épée, la flèche, la bombe nucléaire, les gaz, demander un peu d'amour et de fraternité semble être une utopie trop prématurée. Il est pourtant évident devant l'exemple de l'alphabétisation mondiale, qu'avec quelques institutions on réussisse à obtenir une élévation sublime du niveau intellectuel humain et ce avec un taux de réussite impressionnant et prometteur. En sommes, je pense que nous avons touts les outils, aujourd'hui même, pour créer un paradis social terrestre, mais il semble que nous soyons agglutinés comme des enfants fous et des vieillards séniles, sur les outils maléfiques de notre auto-destruction, je pense qu'il n'y a pas plus triste et Nietzsche trouvait cela plutôt ridicule mais je pense que rire une dernière fois devant les portes de l'enfer serait mal utiliser les dents sauvages qui savaient jadis, en bon réflexe, mordre le serpent pour se défendre ou défendre les siens.

5 - Si l'hyper classe mondiale vie mieux aujourd'hui que les pharaons d'hier, rois, empereurs et autres tordus souffrant d'un gros power-trip, il semble aussi que sa jouissance soit essentiellement lié à un colossal complexe de supériorité ainsi que d'un complexe d'infériorité transformé en névrose, le tout générant un individualisme et un égoïsme records. La maladie mentale du capitalisme est une certitude, depuis leurs puissances fourbes et leurs karmas ridicules en pompons, ils démontrent la bassesse et la vulgarité du mode de vie binaire des élites, on parle bien d'un cerveau étriqué et sous conditionné. Mais si nous nous faisons dominer par ces fous, il semble que notre parade démontre aussi notre ultime débilité. Selon moi, 90% des acteurs de contre pouvoir, oscillent entre tartuferie, roublardise, impuissance, immaturité, niaiserie et parade de paons libidineux. Je veux dire par là que vos "nique la police", vos pavés, vos bandanas de rebelles, vos t-shirt Ché Guevarra cousus par des enfants du Bangladesh qui s'abîment nuit et jour les mains sur les satanés coutures, vos beaux logos design d'associations accablantes d'inutilité et éternellement adolescentes, votre absence totale de stratégie que vous compensez par des envolés révolutionnaires lyriques et de la radicalité frôlant le fascisme, tout cela, m'a terriblement lassé. Parce que je pense qu'il faut savoir entendre dans le silence la voix suppliante de celui qui souffre, qui meure et qui est assassiné et qu'il faut tout au long de sa vie, non pas s’enorgueillir d'essayer de l'aider à grand renfort de sticker et de soirées hype qui impressionnent les belles filles, mais qu'aux contraire il faut agir, gagner et à nouveau définir des standards de gestion. Oui, je dis, très clairement, que la faiblesse des stratégies générées par les acteurs des contres pouvoirs montre une évidente mauvaise foi. J'ai pour ma part, découvert que la maîtrise du triptyque finance-politique-justice, nous assure la victoire INÉVITABLE sur le moyen terme, à travers un combat à armes égales et ou à terme nous gagnons grâce à une légitimité et une puissance collective horizontales, or le triptyque "foire à la saucisse"-"bandana"-"gangsta rap" est une fainéantise et un échec festif beaucoup plus simple et populaire, or, avons nous réellement besoin de cette simplicité et de cette permanente mécanique d'impuissance ? enfin, il est très étonnant de voir que l'adolescence mégalomane de l'hyper classe dirige le monde jusqu'à l'extinction de l'espèce humaine et que les grands chantiers humanistes soient confiés à des prolo-adolescents attardés qui comme à la messe gonflent un peu leurs bonnes consciences à grand renfort de trémolos, tandis que le supplicié hurle sa souffrance et sa solitude.

6 - Si la loi est relative en fonction des multiples pays qui l'écrivent indépendamment et l'appliquent, mais parfois même la contournent dans des programmes secrets, en quoi l'eugénisme n'est pas déjà expérimenté. Mais c'est un vaste sujet que je maîtrise à présent, grâce à mes voyages.

7 - La conquête spatiale avec l’option d’utiliser la propulsion du système solaire et de l’orienter vers d’autres systèmes solaires avec une mécanique d’abordage.

Concernant le bilan de l'humanité et de mes propres ressorts, je dirais devant ses natures mal formées que j’aboutis aux même conclusions que les gens suicidaires et dépressifs. Le monde n'est pas plaisant et celui qui ci plaît a certainement la chance niaise et le malheur franc d'avancer comme un petit poney docile de foire, avec toute sa vie sur ses yeux de biens efficaces œillères, course idiote aux loupiotes vulgaires autour d'un lac de sang.

Je préfère moi, les matins, les midis et les soirs de Primo Levi, chargés de responsabilité, de conscience et de compassion. C’est le cœur brisé que j’aborde le monde et sans passer par ces larmes je ne m’accorde aucune joie et c’est aussi ainsi que mes bonheurs sont sains, car j'invite la les suppliciés dans un matin qui étonne la nuit en créant une renaissance et que cette aurore génère la rosée, bel univers de gouttelettes car quand les saints rient, il y a des larmes dans leurs yeux.

Aussi j’ajouterai que seuls les faits doivent me rendre triste et que c’est un pêché de cultiver une humeur maussade.

Mais si j’aboutis aux mêmes conclusions que les gens suicidaires je dirais qu’une chose importante nous différence, devant l’enfer, je ne teste pas la mort, je teste la vie et c’est étonnant de voir que je meurs plus vite qu’eux.

Antigone est fascinante, car en elle réside une force salvatrice et magnifique, pour elle vivre c’est être quelque chose de haut, de digne, de noble, de respectable, pour elle il y a du beau dans la vie. Or, Antigone perd et se donne la mort. A quoi Georges Steiner répond, si Antigone se bat pour quelque chose, n’abandonne t’elle pas la lutte en se donnant la mort ? Depuis la mort, on ne peut plus lutter contre quoi que ce soit. Quand la nature d’un homme est bonne, lors ce qu’il se donne la mort, il tue le héro. Or tenter de vivre, c’est offrir à ce héro le glaive et le bouclier afin qu’il combatte, terrasse et triomphe.

Si le petit poney docile teste une vie pleine de tiédeur et se régale des eaux bourbeuses qu’il mendie à ses maîtres, tester la vie héroïquement est une chose bien différente, mais si c’est une des plus belle manière de vivre, c’est aussi la plus dangereuse, car le chaud, le froid, l’eau, le feu, le ciel et les tréfonds, le bien, le mal, la paix, la guerre, qu’importe, on est dedans, pire, on est dedans parce qu’on y est allé.

Évidement, la première règle pour tenter de vivre, c’est accepter d’en mourir, ne pas attendre comme une chair molle dans une cage sécurisée que devenu enfin vieux le cœur ne batte plus, non, au contraire, tenter de vivre, c’est exploser les veines du cœur dans l’effort, les larmes, la sueur et le sang, c’est faire de lui le tambour furieux de la vengeance de d’ieu. Tenter de vivre, c’est aller loin et partout, afin, tout le temps, d’être émerveillé aux larmes devant l’infinie multiplicité qui frappe la tête de beauté comme un orgasme, à chaque nouvelle vie croisée là bas, très loin, ou encore se tenir fixe devant l’animal furieusement effrayé et qui le corps tendu, prêt à bondir, guette juste une longue seconde la violence ou la paix de votre regard, afin de vous estimer mais déjà voilà sa course folle et pleine de maîtrise entre les arbres centenaires qui composent sa maison et son domaine. Tenter de vivre, ce n’est pas voir depuis la vitre d’une voiture la biche blanche, celle ci, si rare, qu’elle sanctifie l’année, tenter de vivre, c’est faire et être comme elle, offrir au monde depuis sa différence l’edelweiss de plus et comme elle avancer ahuri, à la recherche d’un animal inconnu et jamais découvert, et tenter de vivre, c’est trouver cette créature et lui sourire. Tenter de vivre c’est boire des bols de cyprine au petit déjeuné dans des bordels de Macao afin de négocier avec le parrain local une subvention pour le nouveau ciné-club de l’hospice et le voir accepter parce qu’on tient une fausse arme à feu vers sa tempe trempée de sueur et qu’il a enfin vu que l’arme était factice et qu’ensembles on rie de la bonne aventure. Tenter de vivre c’est être tombé au sol tant de fois, si vite et si fort, tenter de vivre c’est valser un peut chaque jour avec l’accident et à chaque fois, miraculeusement sauvé, avoir mis toute son énergie pour vérifier si l’autre n’avait rien, tenter de vivre, c’est dans l’embardé, la cascade et la voltige, penser à l’autre et l’aimer.

Tenter de vivre c’est définitivement tuer ce qu’il a de triste, d’effondré et de mourant en soi, afin, étonnamment debout, de courir à en mourir, de nager à s’en noyer, vers celui qui est triste, effondré et mourant, et tenter de vivre c’est le trouver, et le sauver en l’amenant vers des courses, des traversés et des périples bien plus dangereux, c’est le sortir des dangers du confort de l’hiver pour l’amener se déshydrater dans les déserts des étés caniculaires, et dans des danses folles et libres, générer avec sa sueur des océans peuplés. Tenter de vivre, ce n’est pas faire le fou, mais c’est maître de soi, offrir du bon temps aux fous d’une vielle montagne du Tibet, parce qu’il suffisait de brancher la machine, d’éteindre la lumière, d’avoir installé les sièges et de lancer ce foutu bon Chaplin. Tenter de vivre c’est dire au venin des maladies, à l’hermétisme des frontières, le peu de peur qu’elles nous inspirent et le corps soudain vaillant rencontrer tout ce qui vit et chante, et de vivre avec en ajoutant sa voix à la mélodie, tenter de vivre, c’est composer l’orchestre et subjuguer l’oiseau de passage, lui certain de traverser la bonne plaine et passant un peu de bon temps. Et justement, tenter de vivre, c’est rendre la bonne pleine, ensemencer la femme de ménage et rire avec elle des névroses de la reine, afin d’offrir un bonheur vrais, exemplaire et triomphant, et au passage de sauver la reine afin qu’elle baise enfin le beau palefrenier qui l’aime et qu’elle aime, mais surtout, tenter de vivre c’est aimer tendrement la fille de joie enfin heureuse, la voir, amoureuse, demander à son tour de pouvoir payer et lui refuser en l’embrassant doucement, sous le regard satisfait de ses enfants que l’on nourrit déjà depuis longtemps et qui sont enfin vigoureux, car l’inverse était inacceptable. Tenter de vivre c’est ne plus tomber dans les pièges du quotidien, mais enfin libre, c’est s’imposer des épreuves et, les dépassant, s’attrister de la faiblesse de la mémoire, parce que tout cela était trop beau, trop bon, trop pur et trop merveilleux pour être oublié, tenter de vivre, c’est retourner encore dans l’inconnu, encore et encore une fois jusqu’au dernier souffle et de toujours trouver cet inconnu, pour lui livrer les secrets des plus profondes découvertes.

Car tenter de vivre, c’est comprendre que le laps de temps qui nous est imparti est minuscule, que chaque jour est une merveille et que s’il ne faut jamais croquer de fruits défendus, il semble aussi que le monde regorge de fruits permis et qu’il faut s’en gaver et les partager. Tenter de vivre c’est gagner pendant la vie et s’attrister encore plus de la mort. Tenter de vivre, c’est savoir que la mort ne triomphe pas, car si le laps de temps à vivre est court on en a fait une histoire si belle qu’elle en devient éternelle. Tenter de vivre c’est continuer à être l’étoile qui brille dans le grand vide, car tenter de vivre c’est être un phare lointain et pour moi solitaire. Lointain parce qu’il débusque les profonds abîmes pour sauver avec une belle et douce lumière les égarés. Solitaire non pas pour être libre, mais pour être disponible pour celle qui tentant de vivre, tentera de m’aimer. Car tenter de vivre, c’est avoir réussi à vouloir aimer.

La guerre arrive, c'est certain, même ces grosses salopes de putes bourgeoises, mi nazies, mi tapisserie coloniale, mais 100 % pouffiasses, le savent, la guerre arrive, d'ailleurs ils le savent tous ces enculés, cette putain de guerre arrive, la 3eme, l'immense boule de feu, l'atroce et spectaculaire chaos en plein dans notre putain de tronche, virus sélectionnant l'adn, Shoah au four micro onde, mega tonnes de putains de charges supra-atomiques, ça va chier, tout le monde va crever, même vous, même moi, même toi, comme des merdes dans un monde devenu atroce, sueur de rage, sang par rivière, bouts de chair partout, bataillons de serial killers noyant les foules dans des lacs rouges, viol, charniers, poignard, cendre noire coagulant dans des mers ensanglantées, tout, tout dans la tronche. Ahurissant gâchis que même la lumière n'ose approcher.

C'est surtout dans les fêtes proprettes, les grands festivals pleins de spots lumineux et colorés et de piédestal idolâtrique, que je les sens prêts tout ces enfoirés ! Ils chantent des "loves" mais pensent des "fucks", même quand ils sourient, ils exhibent les dents qui dévorent, les dents des voraces, et les dents sont toutes blanches, elles attendent et réclament le gout rouge du sang.

Tout partout tout un tas de gens sont morts, dans tout pleins de pays, parfois des bébés en 2018 ont eu l’honneur de mourir sous les bombardements d'armes toutes nouvelles, labellisées 2018, toi, tu rêves d'avoir l'Iphone 43, lui il a sur la gueule la bombe ibomb 43, full option, dans sa tronche, le fleuron de l'industrie militaire, dans sa tronche, le nouveau modèle, dans sa tronche, les ingénieurs ont taffé dur pour que ce putain de missile soit performant, aileron design et tout, système de navigation en wifi codé, le seul truc qui change pas, c'est le putain d’esprit d’enculé arriéré qui balance des bombes sur des bébés, ça, c'est primaire, classique, tradi même ! De la hache, au flingue, au missile, y'a évolution, mais l'esprit d'enculé qui bombarde des bébés est un peu le même tout le temps, de l'Iliade de Homère à l'enculade de saison, c'est bel et bien la même ordure, le même cerveau d'enculé, le même truc diabolico-bargot, mais bon, elle arrive, cette guerre qui passionnera les historiens arrive, avec son lot de félonies, d'atrocités, d'exactions, de victimes par milliards, putain le chiffre, des milliards de morts, c'est clair, on va péter le score, il faut qu'on la filme cette putain de 3eme guerre mondiale, comme ça on revendra les droits aux extra terrestres, et vu que cette vidéo PROUVERA que les terriens sont les plus grosses merdes de la galaxie et du cosmos tout entier et bien les vidéos auront une certaine valeurs, je sais pas, ce putain de cosmos est éternel et infini, il doit bien y avoir quelque part une bibliothèque spécialisée dans l'achat de vidéos d'abrutis galactiques s’entre-tuant parce que je vous le dis encore, les images de cette 3eme guerre vont être au top, surprenantes, j'espère que les producteurs seront bons et que CNN fera pas mal de vidéos depuis des hélicoptères, de la 3D peut être ? En tout cas le bébé ne les verra pas les images, ni toi d'ailleurs abruti ! Toi t'es la petite silhouette de fourmi qui coure, filmé au drone en night-shot en peu trop vert avec un bandeau explicatif : "L’Europe tombe !" Et Baaaaam ! Gros éclair, tu voulais la guerre, tu voulais l'Iphone 48 ? Explosion sur ta face ! Oublie le téléphone, au paradis t'as le cerveau et la bite en wifi 24 sur 24, par contre, hey bravo gars ! Ils t'ont flingué avec un i-missile 49 ++. Le double + c'est parce que le missile fait le café aux types de la rampe de lancement et qu'il y a l'option cappuccino avec lait de vache normande, et petits gobelets de maison haute couture très hypes et chics, en vrais cuir, et le deuxième + c'est parce que le cuir provient de la même vache qui fourni le lait, je te dis, un putain de truc fashion week caféiné 49 ++ !

Une chose est certaine par contre, quand on dit guerre vous pensez que c'est l'autre qui crève ? Perdu ! C'est tout le monde ! Hey ! C'est ça la guerre ! Il va falloir vous y faire parce que vous allez aussi crever, non mais quoi vous ne pensiez quand même pas rester assis sur vos gros culs en regardant à la télé les 2 milliards de réfugiés climatiques se faire mitrailler comme dans les guerres de rangées, de la merde les gars, la 3eme guerre mondiale elle est aussi dans la tronche de ta femme, de ta fille, de tout tes amis, chiens et chats et kiki popo le ouistitis, tout y passe, prix de gros, recrutement massif, la 3eme guerre mondiale c'est tout le monde dedans. Les jeunes ? Au front bande d'enculés ça vous changera de la Nintendo ! Les filles ? Dans les bordels pour calmer les soldats trop violents ! Allez hop les filles, fini les soldes H&M ou tu doutes sur le jupon en dentelle, là le gars te braque avec un bazooka, faut sourire ! Et rassure toi, la grimace qui sert de rire aux putes de bord de piscine du loft académie reality story, ben il va te servir, parce que le soldat que t'as devant la tronche, il est lui aussi sur-abreuvé à la télé de merde, lui globalement il veut ressembler à un tatoué qui conduit une grosse voiture de sport rouge et avec une grosse bite de black, mais blanche. Du coup, là ma belle, la 3eme guerre mondiale vous fout pas mal dans un concept de mariage forcé, mais bon, vous étiez compatibles, les préliminaires à la hache ne seront pas racontés, mais ensuite devant la téloche vous êtes assortis, ça te laisse 480 heures de vidéos de merde pour cogiter ton plan de vengeance démoniaque. Au pire tu le tues à la bière, le stress et la castration, lentement, comme un plan d'épargne, sur 20 ans !

Mais toi aussi le futur président de la planète, la guerre, elle est dans ta tronche aussi, parce que ton bunker VIP est sympatoche au début, mais au 48eme mois dans cet enfer bétonné sans fenêtre et avec des putains de toilettes sèches, c'est dans une odeur de fennec et un sentiment d'immense regret, que tu comprendras pourquoi le spécialiste sécu de la FBI n'aurait en effet pas put prévoir que foutre le DVD Basic Instinct dans la vidéothéque du Bunker n'était pas une idée futée, en effet, ton bunker est à présent un asile psychiatrique ou ton staff c'est transformé en une armée d'amazones sexo-nevrotico-serial-killeuses, tes généraux nazis s'enculent, 2 secrétaires médias se sont dévorées, lassées des rations et leurs cadavres puent sa race, même stockées dans les toilettes sèches, et tu déprimes pauvre Monsieur le président de la Planète, car ton monde, lui aussi s'est écroulé et qu'il n'y a plus assez de putes et que même ta moelle épinière pue, tantôt la merde, tantôt le cadavre, tantôt les copeaux de bois de Santal ! Coïncidence si le Santal désigne des arbres d'espèces produisant ce type de bois dont l'utilisation de copeaux est luxueux pour les toilettes sèches et qui poussent naturellement en Inde, au Népal, en Australie, en Nouvelle-Calédonie, au Vanuatu, et à Hawaii, pays qu'en ce moment même, tu bombardes.

Putain de merde, elle va être sublime cette 3eme guerre mondiale, rien que d'écrire sur le sujet est t'as déjà les doigts et les mains qui sont possédés par Satan, tellement d'application, de technologie, de science, de chimie, de coup d'enculés, de morts !!! Oh ça l'exploitation de l'homme par l'homme va être un sacré plus, vu que même sans guerre on était déjà des demies vies, a moitié tués, à moitié vivants, on est devenu tellement forts pour s’écrabouiller les uns les autres, chaque esclave martyrisait son esclave, cette guerre, je vous le dis, elle va être particulière, très très dévastatrice, et vous êtes dans la dévastation, vous êtes les cibles dévastées, les bouts de chairs sans vie, c'est vous, alors si vous êtes un de ces enculés qui souhaitez voir la guerre ailleurs, profitez bien, car elle arrive dans votre tronche et si vous êtes des pacifistes, et bien profitez de suite parce que ça va bientôt swinguer dans une ambiance d’abattoir, de boucherie et de charnier, mais avec toi en guise de chair à saucisse ! Tu voulais devenir Rambo, t'avais oublié Rimbaud, t'es mort, ta civilisation avec, et l'amour, brisé, se reconstruira une 3eme fois et encore et encore et comme toujours, sans toi.

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A collection for the cyber punk and crypto geek collectionner's, limited to 260 NFTs. Create by the famous artist Laurent Vo Anh.

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Quelques semaines avant la 3eme guerre mondiale. TOKEN PACIFISTE + BONUS ROMAN en description

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Ce soir, je me suis promené dans le quartier touristique du centre ville de Ho Chi Minh Ville, je connais un coin, ou les femmes de plus de 30 ans, souvent des femmes divorcées, des mères célibataires, des travailleuses ayant peu de temps libres, viennent et s'assoient, et quand un homme leur plait, alors ils vont ensembles faire l'amour, il existe d'ailleurs près de Hanoi, un petit lac ou ce type de rencontre s'organise, et ce depuis des centaines d'années, c'est souvent romantique, doux et charmant. Oubliez youporn et sortez les harpes !

Moi, j'ai très souvent l'habitude de m'assoir dans ce coin là, tout charmant, avec quelques arbres aux parfums furieusement bons. C'est près des dames que je m'assois, et là, toujours, je les fait rire, c'est incroyable le nombre d'idées qui me viennent à l'esprit pour les faire rire, c'est fou d'avoir tant d'imagination, et cela se fait tout simplement, parce que, je pense, j'éprouve envers ses femmes un amour total, bien plus fort que le désir.

Elles rient, et puis je dis "allons à l’hôtel" et si elle me donnent une petite tape de réprobation je sais que tout se jouera à la phrase suivante, ou souvent j'invoque la notion de plaisir charnel, mais si il n'y a pas de petite tape nous sommes alors souvent déjà debout, moi dur, elle mouillée, en rut et en route !

L’hôtel est à 100 000 dong de l'heure, soit 4 euros et la décoration des chambres est toujours une source d'immense déception.

Quel hôtel choisir ? C'est bien simple, je choisis toujours le même, tout heureux de voir les garçons de chambre hilares, en me revoyant et revoyant et revoyant encore, c'est une certitude, depuis qu'ils me connaissent ils savent à présent que la fréquence d'acte sexuel d'un homme bien constitué est au moins 20 fois plus forte qu'ils ne le pensaient, c'est mon coté ludique.

Je monte alors avec les belles dames les escaliers ou les grooms peuvent entrevoir des talons aiguilles de chaussures parfois rouges et moi, derrière, furieusement motivé et l'air très sérieux.

Il y a deux écoles, celles pour qui la douche est le début, d'autres pour qui il faut, de suite, vite, vite, que les corps fusionnent, qu'une forme de bestialité et d'amour s'installe, mais surtout que le pacte soit signé, celui de deux corps et deux désirs assemblés et dans des sensations plus que divines, avec ou sans crasse, dans la sueur, la salive, la cyprine et le sperme, et torse contre torse, dans le jolie poids de l'autre, les cœurs battant fort comme de grands tambours annonçant le tonnerre et la lumière de ses éclairs prodigieux qui par écho, brillent merveilleusement dans les yeux de la belle, souvent déjà devenue, incontrôlable, scandaleuse, et qui de plus en plus coquine et comblée génère soudain une beauté terriblement attractive et merveilleuse pour celui qui la contemple et là, petit chef d'oeuvre, les faire jouir réellement, et coup de surprise, commencer à mieux baiser à l'instant même de l'orgasme de la belle, devenue animale, coup de surprise prolongeant et décuplant l'immense choc cérébral du bonheur.

De là, même quand on est repu, que l'on se rhabille dans une déjà dangereuse distance, on jouit encore, les organes pétilles et l'âme ressent tout ce qu'il y a de sensationnel lors ce qu'un homme et une femme, s'aiment et s’accouplent. Ajoutez y une fulgurante et vraie tendresse et vous avez la preuve scientifique que dieu existe !

Parce que si les relations multiples et éphémères sont un petit enfer, autant semer là, l'imparabilité du paradis. Je dirais même que si l'on cherche les plumes perdues des ailes des plus grands anges, c'est dans l'édredon des lits de mes chambres d’hôtel qu'on les trouve.

Mais il y a là une chose plus merveilleuse encore, ces instants d'une intensité immense avec des êtres prodigieux, les energies de l'amour qui se ressentent et se partagent, avec, des femmes exceptionnelles, toutes fines et toutes longues, ce que je les aime leurs longues pattes lisses et caramels, il y a ses bustes aux courbes parfaites, ses yeux étirés, très loin s'ils sont Chams et tout ronds s'ils viennent du nord et puis surtout il y a ses esprits, qui ne pleurent pas comme nous dans le métro parisien qui hurle sans cesse des avertissements pré-enregistrés contre le crime, non, moi, mes belles, font les bikeuses, roulent comme les beaux oiseaux planent dans l'air, et je roule à coté d'elles, sorte de balade italienne entre deux amoureux à Rome, gomina, petite jupe et "Monsieur Visconti" vous pouvez dire "ACTION".

Moi, mes belles n'ont pas peur de se faire agresser dans la rue et mieux, elles nous tapent, nous les hommes, à longueur de journée. Je sais à présent pourquoi elles nous donnent ces petites tapes amicales, c'est pour un seul et unique motif, nous dire, quand elle vienne de nous mettre une grosse droite dans la tête : "oh pardon, j'ai loupé ma petite tape" et nous de répondre en touchant la bosse naissante "Euh ! Oui je crois aussi". Mais surtout si les femmes n'ont pas peur dans la rue, c'est parce que si elles se font attaquer, alors, bébés, mamies, papys, travelos, postiers, taxis, passants, se transforment en Moines Kung Fu Shaolin et défoncent l'agresseur pour sauver la belle, qui déjà, amorce un processus collectif de lourdes tapes et autres coups de bâton, chaines en métal et parapluies, si c'est la mousson. C'est ainsi le Vietnam.

Vous, à Paris, par exemple, si une femme se fait agresser dans le metro, voilà vos attitudes :

1 - La femme est perdue, penser encore à elle est un hors sujet. 2 - Commencer à fuir tout en gardant une sorte d'élégance parisienne. 3 - Après ne plus regarder le crime, commencer à ne plus vouloir entendre, car la belle se plaint et demande de l'aide. 4 - Devenir enfin héroïque en aidant les autres lâches a sortir de la rame, et depuis le quai, voir les portes se fermer et la rame partir avec les roues en métal produisant un immense hurlement lié au frottement avec les rails, à moins que ce soit les cris de supplication de la femme abandonnée et restée seule avec son agresseur dans le métro. 5 - Recommencer à penser à la jeune femme déjà loin en appelant la police car le numéro de téléphone est gratuit. Zut, pas de réseau !

Et grosso modo, nous, à Ho Chi Minh City, nous inversons un peu la dynamique des 5 points.

1 - L'agresseur est perdu. Ils faut que des gens raisonnés évitent l’homicide en calmant la foule qui depuis 5 minutes organise des concours de coup de pied sautés directement dans sa tête. 2 - Ceux qui ont aidé la fille doivent commencer à fuir, car ils ont certainement tué l'agresseur. 3 - Entendre la fille rire sur le cadavre, ou l'être inconscient, qu'importe elle rie d'avoir gagné et contemple le visage en sang de son agresseur à présent bien calmé, remis à sa juste place en fait.

C'est une grande différence qui se ressent dans toutes les villes, car les grands mères font de la gyms dans les parcs à 3h du matin, croisant une petite fille de 12 ans promenant son petit chien mignon, les roses sont au rosier et c'est une belle vie sous un ciel immense et clair. Ici, la vie est belle comme la nature et tout cela fleurit. Ici, même la nuit est claire comme le jour.

Il y a plusieurs manières d'aborder le Vietnam, et les touristes baba cool ont des visions bien différentes de la bourgeoisie en grand hôtel, ce qu'ils sont épais et doux ces grands peignoirs blancs, même les chaussons.

La mienne est simple, j'active les photos en noir et blanc de Robert Doisneau. Je vais dans google image et je cherche ceci : "noir et blanc, période industrielle". Ici, au Vietnam, cette carte postale, s'active en couleur, en vie, dans le présent, en individus, en plaines.

Alors, si je croise tout d'un coup, à 50 km de Ho Chi Minh Ville, 2 000 ouvriers en scooters, tous avec des t-shirts oranges fluo d'une même firme, j'ai, prodige de la vie, Victor Hugo avec moi pour réfléchir sur la condition humaine, j'ai Rimbaud, celui qui tue les lourdes et laides conventions et ceux qui se vautrent dedans, le même Rimbaud, qui oppose cela à la nature, à la nature qui réside dans l'homme, et à tout ce qu'il y a de profondément merveilleux en nous lors ce que l'on enlève les inadmissibles et réductrices étiquettes, car cette libération a un gout d'étoiles comprises et émouvantes, mais j'ai aussi, tout les romanciers Européens et Américains de l'aire industrielle, et devant mes yeux, je vois tout se réactiver. Idem pour la gomina, les vespa, les serveurs en uniformes, les débuts de la techno, les blanchisseuses toutes en blanc dans l'immense bâtiment vert, la première roulotte de Monsieur Perlipinpin, mais attendez, Serge Daney me suggère quelques belles choses, quelques êtres à voir et peut être parlant de leurs sorts, changer le monde en l'améliorant.

Comme avec la méthode éducative de Georges Steiner, j'ai un bagage immense pour analyser les faits et mieux encore, comprendre et agir.

Aussi, si ici, je suis prophète sociologiquement, je suis aussi et peut être avant tout, en admiration totale envers la chose la plus importante qui soit, l'humanité pure et saine : retrouvée, et j'en ai la preuve.

La démonstration est simple, les gens que j'ai en face de moi, sont naïfs au point que c'est dangereux pour eux, de 0 à 8 ans ils se sont réveillé au son des poules, c'est la famille Ingals de la petite maison dans la prairie, avec une grosse dose de tortilla flat made in Steinbeck, en bout de course, déjà, psychanalytiquement, tu as un être intéressant là ou nous, occidentaux, nous bouffions du nutella bourré d'huile de palme dans des "immeubles cages à poules" et dans les oreilles le début de très mauvais fait divers, le tout, hypnotisés devant une télé hyper abêtissante. L'autre a des poules, des clodos majestueux, des grands mères édentées de cent ans qui se marrent défoncées aux herbes folles, et le tout fusionne dans un petit coin de rue magnifique et simple et toi, l'occidental, tu étais seul, berné, trahis et mourant.

Cela s'entend en fait, c'est simple, c'est audible. Cette gentillesse certainement ancestrale et universelle que l'on retrouve dans l'âme vietnamienne, on l'entend, dans la voix vietnamienne qui nous parle, et en réalité, l'être sensible et hyper attentif, ici, pleure tout le temps, à chaque mot entendu, à chaque "bonjour" car il ouvre un grand livre de l'humanité avec des personnages sublimes et essentiels qu'il croyait disparus.

En entendant certaines voix, d'amoureuses en particulier, en entendant la beauté et la pureté de ces voix, je me suis convaincu que ces voix venaient d'une âme et que cette âme spécifique était la plus belle et la plus puissante chose que l'humain sache produire. Et c'est incroyable de comprendre que cette beauté est sans défense et disparaîtra ! "Sauf si Ben Yossef et Ben David œuvrent ensembles." disait un ami, je confirme.

Cette voix, cette âme, je le sais, existait en Europe, avant que l’Amérique ne décline et que sont "copier coller" : l'Europe, ne soit aspirée dans cette spirale du déclin. Ne nous sommes nous pas habitué à la robotisation des serveurs d'un mac donald et à la robotisation de nos réponses, nous tout complices, dénaturés, éteints et asservis ? Pire ! Avons nous oublié qu'il existe autre chose, de plus pur et de plus beau, de plus naturel et de plus libre ?

En 1960, en 1975, Paris était joyeux, festif, doux et un peu yéyé. Cul cul la praline à souhait mais baisouillant par ci par là. En tout cas les filles se baladaient peinardes toute la nuit et c'était poétique et beau et cette merveille était une évidence. Les pires voyous étaient des rockeurs du type "Dick Rivers", et "merde" était le maximum de l'injure. En sortie de course, nous sommes en 2017, "Fist ta reum" sera au top 50.

Les gangsters des années 70 le disent, les nouvelles générations de gangsters sont des sérials killers, criminologie de psychopathe, tu oublies le gangster gentleman car Ted Bundy fait le braquage.

Parfois, la pire chose qu'ait faite dans sa vie la victime du braquage, c'est de dire "salope" en regardant un reality show de merde et à propos de "Cindy Bitch". Le braqueur lui en face n'a pas chaumé et pour lui "salope" est un adjectif qualificatif assez neutre et usuel, voir un compliment.

Un jour, le Vietnam sera ainsi, même saccage, mêmes zombies et une lumière blessée et seule dans un wagon.

En attendant, demain matin, BFMTV, vous fera gober du néo-big-brother, dans un pays ou tout les citoyens conspuent sont fonctionnement. Quand au Vietnam, je ne pourrais pas vous dire, car il m'est impossible de savoir si nous somme déjà le matin ou encore le soir.

J'ai 41 ans, et quelque part je n'ai pas d'age. Parfois je poste mes textes sur le forum lazone qui est le seul cyber mouvement littéraire originel et indépendant ayant continué d'exister, cette longévité est due à un homme passionné et honnête que je félicite. Puisque des rumeurs courent sur moi, je suis en effet Noahide du courant Juif et j'étudie la Torah avec un rabbin tout en étant un activiste sioniste très engagé dans la survie du peuple juif et l'établissement d'une paix durable au moyen orient. Je suis aussi journaliste pour la presse Israélienne et j'ai fondé le think tank Aliotfund ayant contribué à l'obtention de 600 millions de shekels à la Knesset afin d'aider les Juifs de France à fuir l'islamismo-nazisme. Je suis aussi un financier de haut niveau spécialisé dans la défiscalisation, les fonds d'investissement et je donne des conférences sur les mécaniques modernes du blanchiment d'argent. Soufrant de schizophrénie, d'autisme et d'une maladie mentale orpheline, je suis hélas sous tutelle depuis quelques années et bien que j'exerce une activité je suis bénévole et non rémunéré car je suis incapable d'assurer de lourdes responsabilités. Je suis aussi cinéaste, artiste contemporain, musicien et, hélas, écrivain. J'ai aussi fondé un think tank atlantiste regroupant les plus grands maîtres des obédiences régulières et irrégulières afin d'établir un dialogue interloge orienté sur un plan de survie de l'espèce humaine compte tenu des incidents et dégradations écologiques manifestement graves qui nous menacent. Ainsi mes pensés et mes travaux progressent. A cette étape de ma vie 7 choses composent mes préoccupations ultimes.

1 - 50% des espèces terrestres vivantes vont disparaître prochainement ou ont déjà disparu. Le couguar est déjà de l'histoire ancienne, concernant en tout cas les félins et non pas les femmes de plus de 40 ans qui elles se portent bien et une fois qu'on les porte c'est incroyable ce que l'on peut faire ensemble, en terme d'encastrement et de gestes mécaniques, profonds, rapides et répétitifs.

2 - Les saccages industriels sur l'écosystème semblent irréversibles et les scientifiques sérieux, tel Steven Hawkins, lui conscient des effets néfastes et ridicules que génèrent les prédicateurs d'apocalypses analysés par Nietzsche dans son Zarathoustra, disent, très accablés, tout simplement que l'humanité va disparaître dans environ 1 000 ans, soit encore 50 générations humaines. Ainsi, ce ne sont pas les virus, les cataclysmes, l'arme nucléaire, les monstres démoniaques des abîmes, les dragons noirs de l'enfer, qui ont tué l'humain, l'humain c'est tué tout seul avec cette chose : l'industrialisation aveugle. Je pense que c'est l'auto-génocide le plus stupide de l'histoire de l’univers éternel et infini. Il semble même évident, que la fourmi, le vers de terre, le koala, le chaton, le moineau, sans nous, auraient la chance de vivre des milliards et des milliards d'années en plus, ce qui nous invite à, depuis notre spécifique intelligence humaine, accepter aussi le bilan franc de notre spectaculaire débilité.

3 - Le chantier de l'élévation de la condition humaine semble à l’arrêt, voir, régresse. Le FN montre que les idées malfaisantes du passé se reconstituent en structures organisés et offrent sans culot et pour toutes lignes de mire l’éternelle cassure universelle créant alors sur terre une accumulation d'enclos débiles d'humains racistes, ce qui scientifiquement revient à appauvrir l'ADN jusqu'à la trisomie. Macron montre quand à lui que la planète est une usine, un super marché et parfois un club-med de luxe et que l'humain est un travailleur et un consommateur, ou, plus rare, un semi dieu débile et névrosé de l'hyper classe et la chose m’étonne car en contemplant la voûte céleste et les vastes horizons sublimes des formes de vie, je nous sens lésés, je pense que les étiquettes réductrices qu'ils posent sur nous et sur la vie et le monde, sont en fait les colliers de nos asservissements, et qu'il faut combattre cette injustice et, soyons clair, gifler, dans le sens symbolique du terme. Car s'attaquer à la condition humaine, c'est s'attaquer à quelque chose d'universel et donc, commettre un outrage ultime à la vie devant les yeux fâchés de quelques titans héroïques et éternels, qui souvent voir toujours, répondent présents à ce type rendez vous avec l'histoire, car en effet, il s'avère que dans le cas des deux candidats on obtienne à terme pour l'un, un cataclysme de l'écosystème et une disparition certaine de la vie humaine afin de satisfaire le CAC40 et pour l'autre un univers d'hostilité raciale, suivit lui aussi d'un cataclysme écologique inévitable. Moi qui suis fait de vie, je n'ai pas la mort en ligne de mire, mais des toutes petites et jolies graines qui sont à l'origine des plus immenses forêts.

4 - L'hyper banalisation des crimes est peut être une des choses les plus effrayantes, les très grandes famines, les guerres sales, l'impunité faite aux barbares qui pillent et violent des centaines de milliers de victimes sans qu'aucune bonne âme ne viennent les aider, tout cet immense bain de sang qu'insensibles et le cœur sec nous n'entrevoyons qu'à travers la lorgnette du prémâchage médiatique dans lequel nous nous affalons, montre, l'hyper insensibilité de l'homme envers l'homme. Après s'être entre-tué pendant des siècles, à la hache, la lance, l'épée, la flèche, la bombe nucléaire, les gaz, demander un peu d'amour et de fraternité semble être une utopie trop prématurée. Il est pourtant évident devant l'exemple de l'alphabétisation mondiale, qu'avec quelques institutions on réussisse à obtenir une élévation sublime du niveau intellectuel humain et ce avec un taux de réussite impressionnant et prometteur. En sommes, je pense que nous avons touts les outils, aujourd'hui même, pour créer un paradis social terrestre, mais il semble que nous soyons agglutinés comme des enfants fous et des vieillards séniles, sur les outils maléfiques de notre auto-destruction, je pense qu'il n'y a pas plus triste et Nietzsche trouvait cela plutôt ridicule mais je pense que rire une dernière fois devant les portes de l'enfer serait mal utiliser les dents sauvages qui savaient jadis, en bon réflexe, mordre le serpent pour se défendre ou défendre les siens.

5 - Si l'hyper classe mondiale vie mieux aujourd'hui que les pharaons d'hier, rois, empereurs et autres tordus souffrant d'un gros power-trip, il semble aussi que sa jouissance soit essentiellement lié à un colossal complexe de supériorité ainsi que d'un complexe d'infériorité transformé en névrose, le tout générant un individualisme et un égoïsme records. La maladie mentale du capitalisme est une certitude, depuis leurs puissances fourbes et leurs karmas ridicules en pompons, ils démontrent la bassesse et la vulgarité du mode de vie binaire des élites, on parle bien d'un cerveau étriqué et sous conditionné. Mais si nous nous faisons dominer par ces fous, il semble que notre parade démontre aussi notre ultime débilité. Selon moi, 90% des acteurs de contre pouvoir, oscillent entre tartuferie, roublardise, impuissance, immaturité, niaiserie et parade de paons libidineux. Je veux dire par là que vos "nique la police", vos pavés, vos bandanas de rebelles, vos t-shirt Ché Guevarra cousus par des enfants du Bangladesh qui s'abîment nuit et jour les mains sur les satanés coutures, vos beaux logos design d'associations accablantes d'inutilité et éternellement adolescentes, votre absence totale de stratégie que vous compensez par des envolés révolutionnaires lyriques et de la radicalité frôlant le fascisme, tout cela, m'a terriblement lassé. Parce que je pense qu'il faut savoir entendre dans le silence la voix suppliante de celui qui souffre, qui meure et qui est assassiné et qu'il faut tout au long de sa vie, non pas s’enorgueillir d'essayer de l'aider à grand renfort de sticker et de soirées hype qui impressionnent les belles filles, mais qu'aux contraire il faut agir, gagner et à nouveau définir des standards de gestion. Oui, je dis, très clairement, que la faiblesse des stratégies générées par les acteurs des contres pouvoirs montre une évidente mauvaise foi. J'ai pour ma part, découvert que la maîtrise du triptyque finance-politique-justice, nous assure la victoire INÉVITABLE sur le moyen terme, à travers un combat à armes égales et ou à terme nous gagnons grâce à une légitimité et une puissance collective horizontales, or le triptyque "foire à la saucisse"-"bandana"-"gangsta rap" est une fainéantise et un échec festif beaucoup plus simple et populaire, or, avons nous réellement besoin de cette simplicité et de cette permanente mécanique d'impuissance ? enfin, il est très étonnant de voir que l'adolescence mégalomane de l'hyper classe dirige le monde jusqu'à l'extinction de l'espèce humaine et que les grands chantiers humanistes soient confiés à des prolo-adolescents attardés qui comme à la messe gonflent un peu leurs bonnes consciences à grand renfort de trémolos, tandis que le supplicié hurle sa souffrance et sa solitude.

6 - Si la loi est relative en fonction des multiples pays qui l'écrivent indépendamment et l'appliquent, mais parfois même la contournent dans des programmes secrets, en quoi l'eugénisme n'est pas déjà expérimenté. Mais c'est un vaste sujet que je maîtrise à présent, grâce à mes voyages.

7 - La conquête spatiale avec l’option d’utiliser la propulsion du système solaire et de l’orienter vers d’autres systèmes solaires avec une mécanique d’abordage.

Concernant le bilan de l'humanité et de mes propres ressorts, je dirais devant ses natures mal formées que j’aboutis aux même conclusions que les gens suicidaires et dépressifs. Le monde n'est pas plaisant et celui qui ci plaît a certainement la chance niaise et le malheur franc d'avancer comme un petit poney docile de foire, avec toute sa vie sur ses yeux de biens efficaces œillères, course idiote aux loupiotes vulgaires autour d'un lac de sang.

Je préfère moi, les matins, les midis et les soirs de Primo Levi, chargés de responsabilité, de conscience et de compassion. C’est le cœur brisé que j’aborde le monde et sans passer par ces larmes je ne m’accorde aucune joie et c’est aussi ainsi que mes bonheurs sont sains, car j'invite la les suppliciés dans un matin qui étonne la nuit en créant une renaissance et que cette aurore génère la rosée, bel univers de gouttelettes car quand les saints rient, il y a des larmes dans leurs yeux.

Aussi j’ajouterai que seuls les faits doivent me rendre triste et que c’est un pêché de cultiver une humeur maussade.

Mais si j’aboutis aux mêmes conclusions que les gens suicidaires je dirais qu’une chose importante nous différence, devant l’enfer, je ne teste pas la mort, je teste la vie et c’est étonnant de voir que je meurs plus vite qu’eux.

Antigone est fascinante, car en elle réside une force salvatrice et magnifique, pour elle vivre c’est être quelque chose de haut, de digne, de noble, de respectable, pour elle il y a du beau dans la vie. Or, Antigone perd et se donne la mort. A quoi Georges Steiner répond, si Antigone se bat pour quelque chose, n’abandonne t’elle pas la lutte en se donnant la mort ? Depuis la mort, on ne peut plus lutter contre quoi que ce soit. Quand la nature d’un homme est bonne, lors ce qu’il se donne la mort, il tue le héro. Or tenter de vivre, c’est offrir à ce héro le glaive et le bouclier afin qu’il combatte, terrasse et triomphe.

Si le petit poney docile teste une vie pleine de tiédeur et se régale des eaux bourbeuses qu’il mendie à ses maîtres, tester la vie héroïquement est une chose bien différente, mais si c’est une des plus belle manière de vivre, c’est aussi la plus dangereuse, car le chaud, le froid, l’eau, le feu, le ciel et les tréfonds, le bien, le mal, la paix, la guerre, qu’importe, on est dedans, pire, on est dedans parce qu’on y est allé.

Évidement, la première règle pour tenter de vivre, c’est accepter d’en mourir, ne pas attendre comme une chair molle dans une cage sécurisée que devenu enfin vieux le cœur ne batte plus, non, au contraire, tenter de vivre, c’est exploser les veines du cœur dans l’effort, les larmes, la sueur et le sang, c’est faire de lui le tambour furieux de la vengeance de d’ieu. Tenter de vivre, c’est aller loin et partout, afin, tout le temps, d’être émerveillé aux larmes devant l’infinie multiplicité qui frappe la tête de beauté comme un orgasme, à chaque nouvelle vie croisée là bas, très loin, ou encore se tenir fixe devant l’animal furieusement effrayé et qui le corps tendu, prêt à bondir, guette juste une longue seconde la violence ou la paix de votre regard, afin de vous estimer mais déjà voilà sa course folle et pleine de maîtrise entre les arbres centenaires qui composent sa maison et son domaine. Tenter de vivre, ce n’est pas voir depuis la vitre d’une voiture la biche blanche, celle ci, si rare, qu’elle sanctifie l’année, tenter de vivre, c’est faire et être comme elle, offrir au monde depuis sa différence l’edelweiss de plus et comme elle avancer ahuri, à la recherche d’un animal inconnu et jamais découvert, et tenter de vivre, c’est trouver cette créature et lui sourire. Tenter de vivre c’est boire des bols de cyprine au petit déjeuné dans des bordels de Macao afin de négocier avec le parrain local une subvention pour le nouveau ciné-club de l’hospice et le voir accepter parce qu’on tient une fausse arme à feu vers sa tempe trempée de sueur et qu’il a enfin vu que l’arme était factice et qu’ensembles on rie de la bonne aventure. Tenter de vivre c’est être tombé au sol tant de fois, si vite et si fort, tenter de vivre c’est valser un peut chaque jour avec l’accident et à chaque fois, miraculeusement sauvé, avoir mis toute son énergie pour vérifier si l’autre n’avait rien, tenter de vivre, c’est dans l’embardé, la cascade et la voltige, penser à l’autre et l’aimer.

Tenter de vivre c’est définitivement tuer ce qu’il a de triste, d’effondré et de mourant en soi, afin, étonnamment debout, de courir à en mourir, de nager à s’en noyer, vers celui qui est triste, effondré et mourant, et tenter de vivre c’est le trouver, et le sauver en l’amenant vers des courses, des traversés et des périples bien plus dangereux, c’est le sortir des dangers du confort de l’hiver pour l’amener se déshydrater dans les déserts des étés caniculaires, et dans des danses folles et libres, générer avec sa sueur des océans peuplés. Tenter de vivre, ce n’est pas faire le fou, mais c’est maître de soi, offrir du bon temps aux fous d’une vielle montagne du Tibet, parce qu’il suffisait de brancher la machine, d’éteindre la lumière, d’avoir installé les sièges et de lancer ce foutu bon Chaplin. Tenter de vivre c’est dire au venin des maladies, à l’hermétisme des frontières, le peu de peur qu’elles nous inspirent et le corps soudain vaillant rencontrer tout ce qui vit et chante, et de vivre avec en ajoutant sa voix à la mélodie, tenter de vivre, c’est composer l’orchestre et subjuguer l’oiseau de passage, lui certain de traverser la bonne plaine et passant un peu de bon temps. Et justement, tenter de vivre, c’est rendre la bonne pleine, ensemencer la femme de ménage et rire avec elle des névroses de la reine, afin d’offrir un bonheur vrais, exemplaire et triomphant, et au passage de sauver la reine afin qu’elle baise enfin le beau palefrenier qui l’aime et qu’elle aime, mais surtout, tenter de vivre c’est aimer tendrement la fille de joie enfin heureuse, la voir, amoureuse, demander à son tour de pouvoir payer et lui refuser en l’embrassant doucement, sous le regard satisfait de ses enfants que l’on nourrit déjà depuis longtemps et qui sont enfin vigoureux, car l’inverse était inacceptable. Tenter de vivre c’est ne plus tomber dans les pièges du quotidien, mais enfin libre, c’est s’imposer des épreuves et, les dépassant, s’attrister de la faiblesse de la mémoire, parce que tout cela était trop beau, trop bon, trop pur et trop merveilleux pour être oublié, tenter de vivre, c’est retourner encore dans l’inconnu, encore et encore une fois jusqu’au dernier souffle et de toujours trouver cet inconnu, pour lui livrer les secrets des plus profondes découvertes.

Car tenter de vivre, c’est comprendre que le laps de temps qui nous est imparti est minuscule, que chaque jour est une merveille et que s’il ne faut jamais croquer de fruits défendus, il semble aussi que le monde regorge de fruits permis et qu’il faut s’en gaver et les partager. Tenter de vivre c’est gagner pendant la vie et s’attrister encore plus de la mort. Tenter de vivre, c’est savoir que la mort ne triomphe pas, car si le laps de temps à vivre est court on en a fait une histoire si belle qu’elle en devient éternelle. Tenter de vivre c’est continuer à être l’étoile qui brille dans le grand vide, car tenter de vivre c’est être un phare lointain et pour moi solitaire. Lointain parce qu’il débusque les profonds abîmes pour sauver avec une belle et douce lumière les égarés. Solitaire non pas pour être libre, mais pour être disponible pour celle qui tentant de vivre, tentera de m’aimer. Car tenter de vivre, c’est avoir réussi à vouloir aimer.

La guerre arrive, c'est certain, même ces grosses salopes de putes bourgeoises, mi nazies, mi tapisserie coloniale, mais 100 % pouffiasses, le savent, la guerre arrive, d'ailleurs ils le savent tous ces enculés, cette putain de guerre arrive, la 3eme, l'immense boule de feu, l'atroce et spectaculaire chaos en plein dans notre putain de tronche, virus sélectionnant l'adn, Shoah au four micro onde, mega tonnes de putains de charges supra-atomiques, ça va chier, tout le monde va crever, même vous, même moi, même toi, comme des merdes dans un monde devenu atroce, sueur de rage, sang par rivière, bouts de chair partout, bataillons de serial killers noyant les foules dans des lacs rouges, viol, charniers, poignard, cendre noire coagulant dans des mers ensanglantées, tout, tout dans la tronche. Ahurissant gâchis que même la lumière n'ose approcher.

C'est surtout dans les fêtes proprettes, les grands festivals pleins de spots lumineux et colorés et de piédestal idolâtrique, que je les sens prêts tout ces enfoirés ! Ils chantent des "loves" mais pensent des "fucks", même quand ils sourient, ils exhibent les dents qui dévorent, les dents des voraces, et les dents sont toutes blanches, elles attendent et réclament le gout rouge du sang.

Tout partout tout un tas de gens sont morts, dans tout pleins de pays, parfois des bébés en 2018 ont eu l’honneur de mourir sous les bombardements d'armes toutes nouvelles, labellisées 2018, toi, tu rêves d'avoir l'Iphone 43, lui il a sur la gueule la bombe ibomb 43, full option, dans sa tronche, le fleuron de l'industrie militaire, dans sa tronche, le nouveau modèle, dans sa tronche, les ingénieurs ont taffé dur pour que ce putain de missile soit performant, aileron design et tout, système de navigation en wifi codé, le seul truc qui change pas, c'est le putain d’esprit d’enculé arriéré qui balance des bombes sur des bébés, ça, c'est primaire, classique, tradi même ! De la hache, au flingue, au missile, y'a évolution, mais l'esprit d'enculé qui bombarde des bébés est un peu le même tout le temps, de l'Iliade de Homère à l'enculade de saison, c'est bel et bien la même ordure, le même cerveau d'enculé, le même truc diabolico-bargot, mais bon, elle arrive, cette guerre qui passionnera les historiens arrive, avec son lot de félonies, d'atrocités, d'exactions, de victimes par milliards, putain le chiffre, des milliards de morts, c'est clair, on va péter le score, il faut qu'on la filme cette putain de 3eme guerre mondiale, comme ça on revendra les droits aux extra terrestres, et vu que cette vidéo PROUVERA que les terriens sont les plus grosses merdes de la galaxie et du cosmos tout entier et bien les vidéos auront une certaine valeurs, je sais pas, ce putain de cosmos est éternel et infini, il doit bien y avoir quelque part une bibliothèque spécialisée dans l'achat de vidéos d'abrutis galactiques s’entre-tuant parce que je vous le dis encore, les images de cette 3eme guerre vont être au top, surprenantes, j'espère que les producteurs seront bons et que CNN fera pas mal de vidéos depuis des hélicoptères, de la 3D peut être ? En tout cas le bébé ne les verra pas les images, ni toi d'ailleurs abruti ! Toi t'es la petite silhouette de fourmi qui coure, filmé au drone en night-shot en peu trop vert avec un bandeau explicatif : "L’Europe tombe !" Et Baaaaam ! Gros éclair, tu voulais la guerre, tu voulais l'Iphone 48 ? Explosion sur ta face ! Oublie le téléphone, au paradis t'as le cerveau et la bite en wifi 24 sur 24, par contre, hey bravo gars ! Ils t'ont flingué avec un i-missile 49 ++. Le double + c'est parce que le missile fait le café aux types de la rampe de lancement et qu'il y a l'option cappuccino avec lait de vache normande, et petits gobelets de maison haute couture très hypes et chics, en vrais cuir, et le deuxième + c'est parce que le cuir provient de la même vache qui fourni le lait, je te dis, un putain de truc fashion week caféiné 49 ++ !

Une chose est certaine par contre, quand on dit guerre vous pensez que c'est l'autre qui crève ? Perdu ! C'est tout le monde ! Hey ! C'est ça la guerre ! Il va falloir vous y faire parce que vous allez aussi crever, non mais quoi vous ne pensiez quand même pas rester assis sur vos gros culs en regardant à la télé les 2 milliards de réfugiés climatiques se faire mitrailler comme dans les guerres de rangées, de la merde les gars, la 3eme guerre mondiale elle est aussi dans la tronche de ta femme, de ta fille, de tout tes amis, chiens et chats et kiki popo le ouistitis, tout y passe, prix de gros, recrutement massif, la 3eme guerre mondiale c'est tout le monde dedans. Les jeunes ? Au front bande d'enculés ça vous changera de la Nintendo ! Les filles ? Dans les bordels pour calmer les soldats trop violents ! Allez hop les filles, fini les soldes H&M ou tu doutes sur le jupon en dentelle, là le gars te braque avec un bazooka, faut sourire ! Et rassure toi, la grimace qui sert de rire aux putes de bord de piscine du loft académie reality story, ben il va te servir, parce que le soldat que t'as devant la tronche, il est lui aussi sur-abreuvé à la télé de merde, lui globalement il veut ressembler à un tatoué qui conduit une grosse voiture de sport rouge et avec une grosse bite de black, mais blanche. Du coup, là ma belle, la 3eme guerre mondiale vous fout pas mal dans un concept de mariage forcé, mais bon, vous étiez compatibles, les préliminaires à la hache ne seront pas racontés, mais ensuite devant la téloche vous êtes assortis, ça te laisse 480 heures de vidéos de merde pour cogiter ton plan de vengeance démoniaque. Au pire tu le tues à la bière, le stress et la castration, lentement, comme un plan d'épargne, sur 20 ans !

Mais toi aussi le futur président de la planète, la guerre, elle est dans ta tronche aussi, parce que ton bunker VIP est sympatoche au début, mais au 48eme mois dans cet enfer bétonné sans fenêtre et avec des putains de toilettes sèches, c'est dans une odeur de fennec et un sentiment d'immense regret, que tu comprendras pourquoi le spécialiste sécu de la FBI n'aurait en effet pas put prévoir que foutre le DVD Basic Instinct dans la vidéothéque du Bunker n'était pas une idée futée, en effet, ton bunker est à présent un asile psychiatrique ou ton staff c'est transformé en une armée d'amazones sexo-nevrotico-serial-killeuses, tes généraux nazis s'enculent, 2 secrétaires médias se sont dévorées, lassées des rations et leurs cadavres puent sa race, même stockées dans les toilettes sèches, et tu déprimes pauvre Monsieur le président de la Planète, car ton monde, lui aussi s'est écroulé et qu'il n'y a plus assez de putes et que même ta moelle épinière pue, tantôt la merde, tantôt le cadavre, tantôt les copeaux de bois de Santal ! Coïncidence si le Santal désigne des arbres d'espèces produisant ce type de bois dont l'utilisation de copeaux est luxueux pour les toilettes sèches et qui poussent naturellement en Inde, au Népal, en Australie, en Nouvelle-Calédonie, au Vanuatu, et à Hawaii, pays qu'en ce moment même, tu bombardes.

Putain de merde, elle va être sublime cette 3eme guerre mondiale, rien que d'écrire sur le sujet est t'as déjà les doigts et les mains qui sont possédés par Satan, tellement d'application, de technologie, de science, de chimie, de coup d'enculés, de morts !!! Oh ça l'exploitation de l'homme par l'homme va être un sacré plus, vu que même sans guerre on était déjà des demies vies, a moitié tués, à moitié vivants, on est devenu tellement forts pour s’écrabouiller les uns les autres, chaque esclave martyrisait son esclave, cette guerre, je vous le dis, elle va être particulière, très très dévastatrice, et vous êtes dans la dévastation, vous êtes les cibles dévastées, les bouts de chairs sans vie, c'est vous, alors si vous êtes un de ces enculés qui souhaitez voir la guerre ailleurs, profitez bien, car elle arrive dans votre tronche et si vous êtes des pacifistes, et bien profitez de suite parce que ça va bientôt swinguer dans une ambiance d’abattoir, de boucherie et de charnier, mais avec toi en guise de chair à saucisse ! Tu voulais devenir Rambo, t'avais oublié Rimbaud, t'es mort, ta civilisation avec, et l'amour, brisé, se reconstruira une 3eme fois et encore et encore et comme toujours, sans toi.

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A collection for the cyber punk and crypto geek collectionner's, limited to 260 NFTs. Create by the famous artist Laurent Vo Anh.

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